Famille : Parrainage civil / baptême civil

Le parrainage civil est destiné à faire entrer l’enfant dans la communauté républicaine et à le faire adhérer de manière symbolique aux valeurs républicaines.

Publié le – Mis à jour le

L’engagement que prennent les parrains et marraines de suppléer les parents en cas de défaillance ou de disparition n’a qu’une valeur morale. Le certificat de parrainage civil remis pendant la cérémonie n’a aucune valeur légale.

C’est un moyen de célébrer la venue au monde de votre bébé sans lui donner un caractère religieux. Un bon compromis quand les parents sont de religions différentes ou athées. Vous êtes libres de l’organiser comme vous voulez.

La domiciliation sur Athis-Mons est obligatoire.

Pièces à fournir

  • l’acte de naissance de l’enfant à parainer ;
  • le livret de famille ;
  • carte Nationale d’Identité des parents, parrains et marraines.

S’adresser à

Réunification familiale

Si vous êtes bénéficiaire du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire en France ou que la France vous a reconnu le statut d’apatride et que dans tous les cas vous avez un titre de séjour, vous pouvez alors faire venir en France votre conjoint (marié, pacsé ou en union libre) et vos enfants mineurs sous certaines conditions.

Installation en France d’une famille étrangère

    Conditions à remplir

    • Les liens familiaux doivent dater d’avant votre demande d’asile.

    • Vous devez les avoir déclarés à l’ Ofpra  au moment de la première demande.

    Qui peut venir vous rejoindre ?

    • Votre époux(se) ou votre partenaire de Pacs âgé(e) d’au moins 18 ans, si le mariage ou l’union civile est antérieur à la date d’introduction de votre demande de protection

    • Votre concubin(e) âgé(e) d’au moins 18 ans, avec lequel ou laquelle vous aviez, avant la date d’introduction de votre demande de protection, une vie commune suffisamment stable et continue

    • Les enfants non mariés de votre couple âgés au plus de 19 ans

    Un mineur non marié réfugié ou qui bénéficie de la protection subsidiaire peut demander la réunification familiale pour ses père et mère, accompagnés éventuellement par ses frères et sœurs mineurs non mariés.

    À noter

    l’âge des enfants est étudié à la date à laquelle la demande de réunification familiale a été introduite.

    Les membres de la famille d’un réfugié ou d’un bénéficiaire de la protection subsidiaire doivent demander, pour entrer en France, un visa de long séjour auprès des autorités diplomatiques et consulaires.

    Ils doivent présenter les actes d’état civil justifiant de leur identité et des liens familiaux avec le réfugié ou le bénéficiaire de la protection subsidiaire.

    En l’absence d’actes d’état civil, ils doivent fournir les éléments de possession d’état et les documents établis ou authentifiés par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).

    Conditions à remplir

    • Les liens familiaux doivent dater d’avant votre demande d’apatridie.

    • Vous devez les avoir déclarés à l’ Ofpra  au moment de la première demande.

    Qui peut venir vous rejoindre ?

    • Votre époux(se) ou votre partenaire de Pacs âgé(e) d’au moins 18 ans, si le mariage ou l’union civile est antérieur à la date d’introduction de votre demande de protection

    • Votre concubin(e) âgé(e) d’au moins 18 ans, avec lequel ou laquelle vous aviez, avant la date d’introduction de votre demande de protection, une vie commune suffisamment stable et continue

    • Les enfants non mariés de votre couple âgés au plus de 19 ans

    Un mineur non marié qui bénéficie du statut d’apatride peut demander la réunification familiale pour ses père et mère, accompagnés éventuellement par ses frères et sœurs mineurs non mariés.

    À noter

    l’âge des enfants est étudié à la date à laquelle la demande de réunification familiale a été introduite.

    Les membres de la famille d’un apatride doivent demander, pour entrer en France, un visa de long séjour auprès des autorités diplomatiques et consulaires.

    Ils doivent présenter les actes d’état civil justifiant de leur identité et des liens familiaux avec l’apatride.

    En l’absence d’actes d’état civil, ils doivent fournir les éléments de possession d’état et les documents établis ou authentifiés par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).