Si votre employeur décide de maintenir votre rémunération, vous pouvez cumuler votre salaire et l’indemnité de comparution.
Si votre employeur ne maintient pas votre rémunération, vous pouvez percevoir une indemnité compensatrice si vous avez une perte de revenus.
Le montant de l’indemnité compensatrice est de 11,65 € par heure, avec un maximum de 93,20 € par jour.
L”indemnité compensatrice n’est pas versée d’office, vous devez en faire la demande par écrit.
En ce qui concerne l’indemnité compensatrice, vous devez justifier la perte de revenu. Vous pouvez par exemple fournir une attestation de votre employeur précisant s’il maintient ou non votre salaire.
La demande d’indemnité se fait à la régie d’avances du tribunal ou de la Cour d’appel. Elle doit être envoyée par courrier postal ou par mail.
À noter
En pratique, la demande peut être envoyée au greffe de la cour d’assises qui la transmettra, à son tour, à la régie d’avances.
L’indemnité doit être déclarée aux impôts et est imposable en tant que salaire.
Si votre employeur décide de maintenir votre rémunération, vous pouvez cumuler votre salaire et l’indemnité de comparution.
Si votre employeur ne maintient pas votre rémunération, vous pouvez percevoir une indemnité compensatrice si vous avez une perte de revenus.
Le montant de l’indemnité compensatrice est de 11,65 € par heure, avec un maximum de 93,20 € par jour.
L’indemnité compensatrice n’est pas versée d’office, vous devez en faire la demande par écrit.
En ce qui concerne l’indemnité compensatrice, vous devez justifier la perte de revenu. Vous pouvez par exemple fournir une attestation de votre employeur précisant s’il maintient ou non votre salaire.
La demande d’indemnité doit être envoyée au greffe de la cour d’assises où vous avez siégé.
Il faut joindre si nécessaire un relevé détaillé des dépenses effectuées et les justificatifs (reçus et factures).
L’indemnité doit être déclarée aux impôts et est imposable en tant que salaire.