État civil, Famille : PACS – Pacte Civil de Solidarité

Le PACS est ouvert aux couples de même sexe ou de sexes différents. Pour pouvoir le conclure, les partenaires doivent remplir certaines conditions et rédiger une convention. Ils doivent ensuite la faire enregistrer, en fournissant certains documents.

Publié le – Mis à jour le

Les partenaires liés par un PACS ont des obligations réciproques. Le PACS produit également des effets sur les droits sociaux et salariaux, les biens, le logement des partenaires et en matière fiscale. En revanche, la conclusion d’un PACS ne produit aucun effet sur le nom ni sur la filiation. 

Les futurs partenaires :

  • doivent être majeurs (le partenaire étranger doit avoir l’âge de la majorité fixée par son pays) ; 
  • doivent être juridiquement capables (un majeur sous curatelle ou tutelle peut se pacser sous conditions) ; 
  • ne doivent pas être déjà mariés ou pacsés ; 
  • ne doivent pas avoir entre eux de liens familiaux directs.

Pour faire enregistrer leur déclaration conjointe de PACS, les partenaires qui ont leur résidence commune en France doivent s’adresser :

  • soit à l’Officier d’État-Civil en mairie dans laquelle ils fixent leur résidence commune ; 
  • soit à un Notaire.

Les partenaires qui ont leur résidence commune à l’étranger doivent s’adresser au Consulat de France compétent.

Les futurs partenaires doivent se présenter en personne et ensemble. Le dépôt du dossier de PACS se fait uniquement sur rendez-vous.

Prendre rendez-vous en ligne

Vous avez la possibilité de prendre rendez-vous en ligne et de choisir votre créneau horaire.
Attention : 1 dossier = 1 créneau horaire.

Prendre rendez-vous

Annuler votre rendez-vous

Si vous ne pouvez pas vous rendre au rendez-vous que vous avez pris, pensez à l’annuler.
Le créneau réservé sera libéré pour que d’autres personnes puissent réaliser leurs démarches.
Rien de plus simple, munissez-vous du numéro de demande qui vous a été adressé lors de la prise de rendez-vous.

Annuler un rendez-vous

Télécharger

S’adresser à

Alcool au volant

Quel est le taux d’alcool maximum autorisé pour conduire ? Quelle est la règle en cas de permis probatoire, de conduite accompagnée ou de conduite avec un  ? Comment se passe le dépistage d’alcoolémie ? Quelles sont les sanctions si vous dépassez le taux d’alcool maximum autorisé ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur l’alcool au volant.

    Vous avez un permis de conduire probatoire lorsque vous obtenez le permis :

    Si vous avez un permis probatoire, il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.

    Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.

      Si vous préparez le permis en conduite accompagnée (conduite anticipée, encadrée ou supervisée), il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.

      Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.

        Si votre droit à conduire est limité aux véhicules équipés d’un éthylotest anti-démarrage (EAD), il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.

        Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.

          Il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,5 g/l de sang.

          Cela revient à 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré.

            À savoir

            Si vous avez consommé de l’alcool, vous pouvez mesurer votre alcoolémie avec un éthylotest avant de prendre le volant. Consultez le site de la sécurité routière qui donne des  L’alcool et la conduite .

            Les forces de l’ordre procèdent à une vérification d’alcoolémie de manière obligatoire, facultative ou préventive.

            La vérification peut être précédée d’un dépistage d’alcoolémie.

            La vérification est obligatoire si vous êtes dans l’une des situations suivantes :

            • Vous êtes en état d’ivresse

            • Vous refusez le dépistage d’alcoolémie

            • Votre état de santé, attesté par un médecin, ne vous permet pas de subir un dépistage par éthylotest

            • Vous êtes impliqué dans un accident de la circulation ayant occasionné un dommage corporel

            • Vous êtes l’auteur présumé d’une infraction au code de la route punie de la peine complémentaire de suspension du permis de conduire

              La vérification est facultative si vous êtes dans l’une des situations suivantes :

              • Vous êtes impliqué dans un accident de la circulation ayant uniquement occasionné des dommages matériels

                L’ peut être vérifiée de manière aléatoire, en dehors de toute infraction ou accident.

                  Savoir quelles sont les forces de l’ordre autorisées à procéder au épreuves de dépistage et aux vérifications d’alcoolémie

                  Un officier de police judiciaire (OPJ) ou un agent de police judiciaire (APJ) est autorisé à procéder aux épreuves de dépistage et aux vérifications d’alcoolémie.

                  Un agent de police judiciaire adjoint, sur l’ordre et sous la responsabilité d’un officier de police judiciaire, est autorisé à procéder aux épreuves de dépistage d’alcoolémie.

                  Dépistage

                  Les forces de l’ordre vous fournissent un éthylotest.

                  L’éthylotest sert uniquement à dépister un état d’alcoolémie.

                  Si le dépistage est positif, les forces de l’ordre font vérifier votre taux précis d’alcoolémie.

                  Vérification

                  La vérification du taux d’alcool se fait avec un éthylomètre ou par prise de sang et examens médicaux.

                  Le résultat vous est notifié.

                  Les forces de l’ordre doivent vous demander si vous souhaitez un 2nd contrôle.

                  En cas de réponse positive, ce contrôle est effectué immédiatement et le résultat vous est communiqué.

                  Savoir si le conducteur a la droit de choisir le mode de vérification du taux d’alcool

                  Le conducteur ne choisit pas le mode de vérification du taux d’alcool.

                  Le recours à une prise de sang ne se fait qu’en cas d’impossibilité avérée d’utiliser un éthylomètre.

                  Connaître les cas où les forces de l’ordre retiennent votre permis de conduire

                  Les forces de l’ordre retiennent votre permis de conduire à titre conservatoire si vous êtes dans l’un des cas suivants :

                  • Le dépistage d’alcoolémie et votre comportement laissent présumer que votre taux d’alcool est égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang

                  • La vérification avec un éthylomètre a établi que votre taux d’alcool est égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang

                  • Vous conduisez en état d’ivresse manifeste

                  • Vous refusez le dépistage et la vérification d’alcoolémie

                  Pendant la durée de la rétention, votre véhicule peut être immobilisé.

                  Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.

                  Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .

                  En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .

                  Votre véhicule peut être .

                  6 points sont retirés du permis de conduire.

                  Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                    Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un .

                    Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.

                    Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.

                    Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.

                    6 points sont retirés du permis de conduire.

                    Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                    À savoir

                    Vous risquez les mêmes sanctions en cas de conduite en état d’ivresse manifeste.

                    Connaître les sanctions en cas de récidive

                    Commis en récidive, le de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.

                    Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.

                    Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                    • obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge

                    • Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum

                    Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident

                    En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.

                    Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :

                    • Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).

                    • Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.

                        Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.

                        Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .

                        En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .

                        Votre véhicule peut être .

                        6 points sont retirés du permis de conduire.

                        Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                          Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un .

                          Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.

                          Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.

                          Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.

                          6 points sont retirés du permis de conduire.

                          Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                          À savoir

                          Vous risquez les mêmes sanctions en cas de conduite en état d’ivresse manifeste.

                          Connaître les sanctions en cas de récidive

                          Commis en récidive, le de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.

                          Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.

                          Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                          • obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge

                          • Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum

                          Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident

                          En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.

                          Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :

                          • Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).

                          • Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.

                              Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.

                              Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .

                              En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .

                              Votre véhicule peut être .

                              6 points sont retirés du permis de conduire.

                              Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un .

                                Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.

                                Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.

                                Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.

                                6 points sont retirés du permis de conduire.

                                Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                À savoir

                                Vous risquez les mêmes sanctions en cas de conduite en état d’ivresse manifeste.

                                Connaître les sanctions en cas de récidive

                                Commis en récidive, le de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.

                                Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.

                                Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                • obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge

                                • Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum

                                Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident

                                En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.

                                Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :

                                • Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).

                                • Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.

                                    Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,5 g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.

                                    Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .

                                    En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .

                                    Votre véhicule peut être .

                                    6 points sont retirés du permis de conduire.

                                    Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                      Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un .

                                      Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.

                                      Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.

                                      Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.

                                      6 points sont retirés du permis de conduire.

                                      Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                      À savoir

                                      Vous risquez les mêmes sanctions en cas de conduite en état d’ivresse manifeste.

                                      Connaître les sanctions en cas de récidive

                                      Commis en récidive, le de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.

                                      Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.

                                      Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                      • obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge

                                      • Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum

                                      Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident

                                      En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.

                                      Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :

                                      • Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).

                                      • Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.

                                          Refuser de se soumette aux vérifications du taux d’alcool est est un .

                                          Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.

                                          6 points sont retirés du permis de conduire.

                                          Vous risquez également les suivantes :

                                          Connaître les sanctions en cas de récidive

                                          Commis en récidive, le refus de se soumettre aux vérifications d’alcoolémie est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.

                                          Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.

                                          Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :

                                          • obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge

                                          • Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum

                                          En cas d’accident sous l’effet de l’alcool, votre compagnie d’assurance vous appliquera des sanctions (augmentation des cotisations, résiliation du contrat…).