Logement et habitat : Demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

Vous envisagez de louer votre logement pour des séjours de courte durée ? Avant de vous lancer, certaines démarches administratives sont indispensables. Déclaration préalable, obtention d’un numéro d’enregistrement ou autorisation de changement d’usage : découvrez toutes les étapes pour être en conformité avec la réglementation en vigueur.

Publié le – Mis à jour le

Vous souhaitez proposer votre local d’habitation à la location de courte durée, pour une période inférieure à 120 jours par an ?

Une déclaration préalable auprès de la Mairie est indispensable en vue de l’attribution d’un numéro d’enregistrement.

Vous souhaitez transformer votre local d’habitation et pouvoir le proposer à la location de courte durée, pour une période supérieure à 120 jours par an ?

En plus de la déclaration préalable auprès de la Mairie, cette mise en location doit suivre une procédure règlementée dite de changement d’usage. Un nouveau règlement, applicable à compter du 1er janvier 2025, fixe les conditions d’autorisation de changement d’usage en meublés de tourisme. Désormais soumise à l’autorisation préalable de Monsieur le Maire, cette autorisation est le point de départ à la réalisation de votre projet.

Règlement relatif au changement d’usage des locaux d’habitation en meublés de tourisme, à la déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement

Constituent des locaux destinés à l’habitation toutes catégories de logements et leurs annexes, y compris les logements-foyers, logements de gardien, chambres de service, logements de fonction, logements inclus dans un bail commercial, locaux meublés donnés en location dans les conditions de l’article L. 632-1 ou dans le cadre d’un bail mobilité conclu dans les conditions prévues au titre Ier ter de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986.

Le présent règlement ne s’applique pas aux chambres d’hôtes et aux chambres chez l’habitant.

Sont considérés comme meublés de tourisme, les villas, appartements ou studios meublés, à l’usage exclusif du locataire, offert à la location à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile et qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée, à la semaine ou au mois.

Article 1er :

Conformément aux articles L. 631-7 et suivants du Code de la construction et de l’habitation, le changement d’usage des locaux destinés à l’habitation est soumis à autorisation préalable par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire de la commune d’Athis-Mons. Cette autorisation est délivrée par le Maire d’Athis-Mons selon les modalités définies par le présent règlement.

Article 2 :

Les autorisations de changement d’usage sont accordées en tenant compte des objectifs de maîtrise du développement des meublés de tourisme et de critères objectifs définis par le présent règlement.

Les autorisations sont accordées par la commune sous réserve du droit des tiers. En outre, les activités de meublés de tourisme ne doivent engendrer ni nuisance, ni danger pour le voisinage, ni conduire à aucun désordre pour le bâti.

Les règles s’appliquent de manière identique sur l’ensemble du territoire communal.

Article 3 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 4 :

L’autorisation de changement d’usage revêt un caractère temporaire. Elle est délivrée pour 3 ans, renouvelable 3 fois, soit 9 ans maximum.

Article 5 :

L’autorisation de changement d’usage est accordée à titre personnel et ne peut être cédée.

L’autorisation de changement d’usage pourra être délivrée pour 3 logements maximum appartenant au même propriétaire.

Article 6 :

Les autorisations ne sont pas subordonnées à une compensation.

Article 7 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 8 :

Le dépassement de la durée maximale de cent vingt jours de location d’une résidence principale entraine l’application d’une amende d’un montant de 10 000 euros et de l’interdiction de publier une offre de location de ladite location jusqu’à la fin de l’année en cours.

Article 9 :

Le non-respect par une plateforme de location temporaire de l’obligation de limiter à 120 jours par an la location d’un meublé de tourisme déclaré comme la résidence principale du propriétaire entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 10 :

Sont exclus de cette procédure de changement d’usage :

  • Les logements faisant l’objet d’un conventionnement public (logement social)
  • Les logements de fonction
  • Les logements de gardien
  • Les logements-foyers

Article 11 :

La commune se réserve le droit, à des fins de contrôle, d’obtenir la transmission par les plateformes d’un état récapitulatif du nombre de nuitées de location pour chaque local d’habitation pendant l’année en cours et l’année précédente. Cet état précise le nom du loueur, si le local constitue sa résidence principale ou secondaire, l’adresse précise du local.

Article 12 :

Le défaut de transmission par une plateforme de location temporaire d’un état récapitulatif des données demandées entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par annonce faisant l’objet du manquement.

Article 13 :

Le non-respect pour le loueur de la procédure de changement d’usage l’expose à l’application d’une amende d’un montant de 50 000 euros par local assortie, le cas échéant, de 1000 euros d’astreinte par jour et par m2 jusqu’à ce que le local soit rendu à son usage d’habitation (et retiré des plateformes de location temporaire).

Article 14 :

Conformément à l’article 324-1-1 II. du Code du tourisme, une procédure de déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement est mise en place par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire d’Athis-Mons.

Article 15 :

Tout meublé de tourisme, qu’il constitue la résidence principale ou la résidence secondaire du locataire devra être déclaré et ce, dès la première nuitée de location.

Cette déclaration devra être faite par :

Article 16 :

Cette déclaration devra comporter :

  • Le Cerfa n°14004*04, en libre téléchargement sur internet (ou via la démarche en ligne guidée sur service-public.fr), à compléter et à signer,
  • Une pièce d’identité.

À réception et après traitement de cette déclaration, un numéro d’enregistrement sera transmis à des fins d’identifications.

Article 17 :

Ce numéro d’enregistrement devra obligatoirement être déclaré dans les annonces sur les plateformes de location temporaire.

Article 18 :

Le non-respect de la procédure de déclaration préalable avec attribution du numéro d’enregistrement expose le loueur à une amende d’un montant de 5000 euros.

Article 19 :

Le manquement à son obligation déclarative d’apposer le numéro d’enregistrement sur l’annonce de location temporaire expose le loueur à une amende d’un montant de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 20 :

La publication par une plateforme de location temporaire sans numéro d’enregistrement expose la plateforme à l’application d’une amende de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 21 :

La taxe de séjour est applicable sur l’ensemble du territoire de la commune indépendamment des autres dispositifs juridiques cités dans ce règlement.

Article 22 :

La taxe de séjour incombe aux personnes non domiciliées dans la commune.

Article 23 :

Elle s’applique aux meublés de tourisme tous classement confondu.

Article 24 :

La taxe de séjour est calculée par personne et par nuit.

Article 25 :

Sont exemptes de la taxe de séjour :

  • Les personnes mineures
  • Les titulaires d’un contrat de travail saisonnier employés dans la commune
  • Les personnes bénéficiant d’un hébergement d’urgence ou d’un relogement temporaire

Article 26 :

Le montant de la taxe de séjour est fixé par délibération du Conseil municipal.

Article 30 :

Les propriétaires qui perçoivent les loyers sans intermédiaire versent la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune.

Les propriétaires qui usent d’un intermédiaire de paiement (service de réservation, de location ou de mise en relation en vue de location d’hébergement) ont la responsabilité de s’assurer que les gestionnaires de la plateforme assurent le versement deux fois par an de la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune, selon les modalités fixées par la délibération susvisée du Conseil Municipal.

Article 31 :

Ne pas reverser le montant de la taxe de séjour due entraîne l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

Article 32 :

Conformément à l’article L2333-34 III du CGCT, les propriétaires sont tenus de faire une déclaration à la commune quand ils reversent le produit de la taxe de séjour pour chaque hébergement loué sur la commune et pour chaque perception effectuée.

Cette déclaration doit comporter :

  • La date à laquelle débute le séjour
  • La date de la perception de la taxe
  • L’adresse de l’hébergement
  • Le nombre de personnes y ayant séjourné
  • Le nombre de nuitées constatées
  • Le prix de chaque nuitée réalisée lorsque le logement n’est pas classé
  • Le montant de la taxe perçue
  • Le numéro d’enregistrement de l’hébergement

Article 33 :

Le défaut de production dans les délais prévus de cette déclaration entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 12 000 euros sans être inférieure à 750 euros.

L’omission ou l’inexactitude constatées dans cette même déclaration entraine l’application d’une amende d’un montant de 150 euros par omission ou inexactitude sans être supérieure à 12 500 euros.

Article 33 :

Le propriétaire ou l’intermédiaire de paiement qui n’a pas perçu la taxe sur un loueur entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

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  • Formulaire de demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

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INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES FOURNIES PAR SERVICE-PUBLIC.FR

Pour vous offrir une information complète et à jour sur vos démarches administratives, nous intégrons ci-dessous des contenus issus du site officiel Service-Public.fr. Ces informations, régulièrement mises à jour par l’administration centrale, viennent compléter celles spécifiques à la Mairie d’Athis-Mons, afin de répondre au mieux à vos besoins.

Un salarié peut-il percevoir l’allocation chômage en cas de démission ?

Vous êtes en  CDI  et vous souhaitez démissionner ? En principe, la démission ne vous permet pas de bénéficier de l’allocation de retour à l’emploi (ARE). Toutefois, dans certains cas, votre démission peut être considérée comme légitime par France Travail. Elle ouvre alors droit à l’ARE dans les conditions habituelles. Nous faisons un point sur la réglementation.

Attention

Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Démission d’un nouvel emploi repris après un licenciement

    Votre démission peut être considérée comme légitime si vous remplissez l’ensemble des conditions suivantes  :

    • Vous ne vous êtes pas inscrit comme demandeur d’emploi depuis la rupture de votre dernier contrat de travail

    • Vous avez été embauché en  CDI  et vous avez mis fin volontairement à votre nouveau contrat moins de 65 jours travaillés après la date de l’embauche.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE (et notamment vérifier le décompte des jours travaillés) en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez toutes ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Vous bénéficiez d’un reliquat de droits à l’ARE

    Votre démission peut être légitime si vous n’avez pas épuisé tous vos droits à l’ARE lors d’une précédente inscription comme demandeur d’emploi.

    Si vous êtes en cours d’indemnisation par France Travail au moment de votre démission, le versement de votre allocation n’est pas suspendu dans les 3 cas suivants :

    • Si vous justifiez de moins de 65 jours (et moins 455 heures) travaillés depuis votre ouverture de droit

    • Si le contrat duquel vous avez démissionné a duré moins de 8 jours calendaires (chaque jour compte, week-end et jours fériés compris)

    • Si le contrat duquel vous avez démissionné a représenté moins de 17 heures par semaine.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions (et notamment vérifiez le décompte des jours travaillés).

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Les conditions d’indemnisation diffèrent en fonction du motif à l’origine du déménagement.

    Votre démission peut être légitime si vous suivez la personne avec qui vous vivez en couple qui déménage pour un motif professionnel (activité salariée ou non).

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez cette condition.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez cette condition, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime en raison de votre mariage ou de la signature d’un  Pacs  lorsque celui-ci entraîne un déménagement. Votre nouvelle adresse ne doit pas vous permettre de conserver votre activité professionnelle.

    À noter

    moins de 2 mois doivent s’écouler entre la date du mariage ou du  Pacs  et la date de la démission ou de la fin du contrat de travail (peu importe que le mariage ou le Pacs soit conclu avant ou après la démission).

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime si votre déménagement est justifié par des violences conjugales.

    Votre nouvelle adresse ne vous permet pas de conserver votre activité professionnelle.

    Vous devez avoir déposé une plainte pour ce motif. Le récépissé de dépôt de plainte est à joindre à la demande d’indemnisation.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime si votre déménagement est expliqué par le placement de votre enfant handicapé dans une structure d’accueil éloignée.

    Votre nouvelle adresse ne vous permet pas alors de conserver votre activité professionnelle.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime si vous avez moins de 18 ans et que vous suivez vos parents (ou la personne qui exerce l’autorité parentale) qui déménagent.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime si vous avez plus de 18 ans, placé sous curatelle ou tutelle, et que vous suivez votre parent désigné mandataire spécial, curateur ou tuteur, qui déménage.

    Votre nouvelle adresse ne vous permet pas alors de conserver votre activité professionnelle.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

    Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre employeur ne vous verse plus de salaire

    Votre démission peut être légitime si vous démissionnez lorsque votre employeur ne vous verse pas tout ou partie de votre salaire pour des périodes travaillées.

    Vous devez justifier de cette situation en produisant une ordonnance de référé du conseil de prud’hommes condamnant votre employeur à payer les sommes dues.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Vous êtes victime d’actes délictueux au travail

    Votre démission peut être légitime si vous êtes victime d’actes délictueux dans le cadre de votre travail (violences physiques, harcèlement par exemple).

    Vous devez justifier avoir déposé une plainte pour l’un de ces motifs. Le récépissé de dépôt de plainte est à joindre à la demande.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Vous créez ou reprenez une entreprise

    Votre démission peut être légitime si l’entreprise que vous avez créée ou reprise cesse.

    Vous devez remplir les 3 conditions cumulatives suivantes : 

    • Quitter votre emploi pour créer ou reprendre une entreprise qui doit être enregistrée au guichet de formalités des entreprises

    • Ne pas percevoir l’ARE après la fin de votre activité salariée

    • Être en cessation d’activité pour des raisons indépendantes de votre volonté de l’entreprise que vous avez créée ou reprise.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

    Votre démission peut être légitime si vous remplissez les conditions cumulatives suivantes :

    • Être salarié en  CDI  de droit privé au moment de votre démission

    • Justifier d’au moins 1 300 jours travaillés dans les 60 derniers mois (soit 5 ans) 

    • Avoir un projet de reconversion professionnelle bien préparé et reconnu comme étant réel et sérieux.

    À noter

    Les 1 300 jours peuvent avoir été travaillés chez un ou plusieurs employeurs. Les congés sans solde, sabbatique ou périodes de disponibilité, ne sont pas pris en compte.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions. Un téléservice permet de vérifier si vous remplissez les conditions :

  • Démission reconversion : les étapes de construction et de validation de votre projet
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Votre projet professionnel doit être validé par une commission paritaire interprofessionnelle régionale (CPIR).

    Si votre projet est validé, vous pouvez démissionnez.

    Attention

    Si vous démissionnez avant que votre projet ne soit validé par France Travail, vous ne pourrez pas bénéficier de l’allocation chômage.

    Vous devez vous inscrire comme demandeur d’emploi dans les 6 mois qui suivent la validation de votre projet.

    Si tel est le cas, vous êtes indemnisé comme n’importe quel demandeur d’emploi, pendant et après la période de mise en œuvre du projet.

    Vous partez en service civique ou en volontariat

    Votre démission peut être légitime si elle est justifiée par la conclusion de l’un des contrats suivants :

    Vous bénéficiez de l’ARE y compris si la mission est interrompue avant à la fin de la durée minimale d’engagement prévue au contrat.

    Avant de démissionner, vérifiez que vous remplissez toutes ces conditions.

    Vous pouvez estimer vos droits à l’ARE en consultant le guide des simulateurs France Travail.

  • Guide des simulateurs d’allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
  • Rappel

    Pour toute question d’ordre individuel, vous pouvez contacter votre agence France Travail.

    Si vous remplissez cette condition, vous pouvez percevoir l’ARE.

    Si votre démission n’est pas considérée comme légitime, vous ne percevez pas l’ARE.

    Après 121 jours de chômage (4 mois environ), vous pouvez demander à France Travail le réexamen de votre situation pour obtenir l’ARE.

    Une instance paritaire régionale de France Travail se charge de vérifier que les 2 conditions suivantes sont réunies :

    • Remplir les conditions d’attribution de l’ARE (autres que la condition de privation involontaire d’emploi)

    • Apporter des éléments attestant de vos recherches actives d’emploi, vos éventuelles reprises d’emploi de courte durée et vos démarches pour entreprendre des formations.

    Si votre demande est acceptée, le point de départ du versement de l’ARE est fixé au 122e jour de chômage.

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