Logement et habitat : Demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

Vous envisagez de louer votre logement pour des séjours de courte durée ? Avant de vous lancer, certaines démarches administratives sont indispensables. Déclaration préalable, obtention d’un numéro d’enregistrement ou autorisation de changement d’usage : découvrez toutes les étapes pour être en conformité avec la réglementation en vigueur.

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Vous souhaitez proposer votre local d’habitation à la location de courte durée, pour une période inférieure à 120 jours par an ?

Une déclaration préalable auprès de la Mairie est indispensable en vue de l’attribution d’un numéro d’enregistrement.

Vous souhaitez transformer votre local d’habitation et pouvoir le proposer à la location de courte durée, pour une période supérieure à 120 jours par an ?

En plus de la déclaration préalable auprès de la Mairie, cette mise en location doit suivre une procédure règlementée dite de changement d’usage. Un nouveau règlement, applicable à compter du 1er janvier 2025, fixe les conditions d’autorisation de changement d’usage en meublés de tourisme. Désormais soumise à l’autorisation préalable de Monsieur le Maire, cette autorisation est le point de départ à la réalisation de votre projet.

Règlement relatif au changement d’usage des locaux d’habitation en meublés de tourisme, à la déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement

Constituent des locaux destinés à l’habitation toutes catégories de logements et leurs annexes, y compris les logements-foyers, logements de gardien, chambres de service, logements de fonction, logements inclus dans un bail commercial, locaux meublés donnés en location dans les conditions de l’article L. 632-1 ou dans le cadre d’un bail mobilité conclu dans les conditions prévues au titre Ier ter de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986.

Le présent règlement ne s’applique pas aux chambres d’hôtes et aux chambres chez l’habitant.

Sont considérés comme meublés de tourisme, les villas, appartements ou studios meublés, à l’usage exclusif du locataire, offert à la location à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile et qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée, à la semaine ou au mois.

Article 1er :

Conformément aux articles L. 631-7 et suivants du Code de la construction et de l’habitation, le changement d’usage des locaux destinés à l’habitation est soumis à autorisation préalable par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire de la commune d’Athis-Mons. Cette autorisation est délivrée par le Maire d’Athis-Mons selon les modalités définies par le présent règlement.

Article 2 :

Les autorisations de changement d’usage sont accordées en tenant compte des objectifs de maîtrise du développement des meublés de tourisme et de critères objectifs définis par le présent règlement.

Les autorisations sont accordées par la commune sous réserve du droit des tiers. En outre, les activités de meublés de tourisme ne doivent engendrer ni nuisance, ni danger pour le voisinage, ni conduire à aucun désordre pour le bâti.

Les règles s’appliquent de manière identique sur l’ensemble du territoire communal.

Article 3 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 4 :

L’autorisation de changement d’usage revêt un caractère temporaire. Elle est délivrée pour 3 ans, renouvelable 3 fois, soit 9 ans maximum.

Article 5 :

L’autorisation de changement d’usage est accordée à titre personnel et ne peut être cédée.

L’autorisation de changement d’usage pourra être délivrée pour 3 logements maximum appartenant au même propriétaire.

Article 6 :

Les autorisations ne sont pas subordonnées à une compensation.

Article 7 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 8 :

Le dépassement de la durée maximale de cent vingt jours de location d’une résidence principale entraine l’application d’une amende d’un montant de 10 000 euros et de l’interdiction de publier une offre de location de ladite location jusqu’à la fin de l’année en cours.

Article 9 :

Le non-respect par une plateforme de location temporaire de l’obligation de limiter à 120 jours par an la location d’un meublé de tourisme déclaré comme la résidence principale du propriétaire entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 10 :

Sont exclus de cette procédure de changement d’usage :

  • Les logements faisant l’objet d’un conventionnement public (logement social)
  • Les logements de fonction
  • Les logements de gardien
  • Les logements-foyers

Article 11 :

La commune se réserve le droit, à des fins de contrôle, d’obtenir la transmission par les plateformes d’un état récapitulatif du nombre de nuitées de location pour chaque local d’habitation pendant l’année en cours et l’année précédente. Cet état précise le nom du loueur, si le local constitue sa résidence principale ou secondaire, l’adresse précise du local.

Article 12 :

Le défaut de transmission par une plateforme de location temporaire d’un état récapitulatif des données demandées entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par annonce faisant l’objet du manquement.

Article 13 :

Le non-respect pour le loueur de la procédure de changement d’usage l’expose à l’application d’une amende d’un montant de 50 000 euros par local assortie, le cas échéant, de 1000 euros d’astreinte par jour et par m2 jusqu’à ce que le local soit rendu à son usage d’habitation (et retiré des plateformes de location temporaire).

Article 14 :

Conformément à l’article 324-1-1 II. du Code du tourisme, une procédure de déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement est mise en place par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire d’Athis-Mons.

Article 15 :

Tout meublé de tourisme, qu’il constitue la résidence principale ou la résidence secondaire du locataire devra être déclaré et ce, dès la première nuitée de location.

Cette déclaration devra être faite par :

Article 16 :

Cette déclaration devra comporter :

  • Le Cerfa n°14004*04, en libre téléchargement sur internet (ou via la démarche en ligne guidée sur service-public.fr), à compléter et à signer,
  • Une pièce d’identité.

À réception et après traitement de cette déclaration, un numéro d’enregistrement sera transmis à des fins d’identifications.

Article 17 :

Ce numéro d’enregistrement devra obligatoirement être déclaré dans les annonces sur les plateformes de location temporaire.

Article 18 :

Le non-respect de la procédure de déclaration préalable avec attribution du numéro d’enregistrement expose le loueur à une amende d’un montant de 5000 euros.

Article 19 :

Le manquement à son obligation déclarative d’apposer le numéro d’enregistrement sur l’annonce de location temporaire expose le loueur à une amende d’un montant de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 20 :

La publication par une plateforme de location temporaire sans numéro d’enregistrement expose la plateforme à l’application d’une amende de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 21 :

La taxe de séjour est applicable sur l’ensemble du territoire de la commune indépendamment des autres dispositifs juridiques cités dans ce règlement.

Article 22 :

La taxe de séjour incombe aux personnes non domiciliées dans la commune.

Article 23 :

Elle s’applique aux meublés de tourisme tous classement confondu.

Article 24 :

La taxe de séjour est calculée par personne et par nuit.

Article 25 :

Sont exemptes de la taxe de séjour :

  • Les personnes mineures
  • Les titulaires d’un contrat de travail saisonnier employés dans la commune
  • Les personnes bénéficiant d’un hébergement d’urgence ou d’un relogement temporaire

Article 26 :

Le montant de la taxe de séjour est fixé par délibération du Conseil municipal.

Article 30 :

Les propriétaires qui perçoivent les loyers sans intermédiaire versent la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune.

Les propriétaires qui usent d’un intermédiaire de paiement (service de réservation, de location ou de mise en relation en vue de location d’hébergement) ont la responsabilité de s’assurer que les gestionnaires de la plateforme assurent le versement deux fois par an de la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune, selon les modalités fixées par la délibération susvisée du Conseil Municipal.

Article 31 :

Ne pas reverser le montant de la taxe de séjour due entraîne l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

Article 32 :

Conformément à l’article L2333-34 III du CGCT, les propriétaires sont tenus de faire une déclaration à la commune quand ils reversent le produit de la taxe de séjour pour chaque hébergement loué sur la commune et pour chaque perception effectuée.

Cette déclaration doit comporter :

  • La date à laquelle débute le séjour
  • La date de la perception de la taxe
  • L’adresse de l’hébergement
  • Le nombre de personnes y ayant séjourné
  • Le nombre de nuitées constatées
  • Le prix de chaque nuitée réalisée lorsque le logement n’est pas classé
  • Le montant de la taxe perçue
  • Le numéro d’enregistrement de l’hébergement

Article 33 :

Le défaut de production dans les délais prévus de cette déclaration entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 12 000 euros sans être inférieure à 750 euros.

L’omission ou l’inexactitude constatées dans cette même déclaration entraine l’application d’une amende d’un montant de 150 euros par omission ou inexactitude sans être supérieure à 12 500 euros.

Article 33 :

Le propriétaire ou l’intermédiaire de paiement qui n’a pas perçu la taxe sur un loueur entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

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  • Formulaire de demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

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INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES FOURNIES PAR SERVICE-PUBLIC.FR

Pour vous offrir une information complète et à jour sur vos démarches administratives, nous intégrons ci-dessous des contenus issus du site officiel Service-Public.fr. Ces informations, régulièrement mises à jour par l’administration centrale, viennent compléter celles spécifiques à la Mairie d’Athis-Mons, afin de répondre au mieux à vos besoins.

Est-on couvert par l’assurance automobile pendant un voyage à l’étranger ?

Oui, votre assurance auto peut vous couvrir lors d’un déplacement à l’étranger. Mais, avant le départ, vous devez vérifier votre contrat ou interroger votre assureur pour savoir dans quels pays vous êtes couvert. La situation est différente pour un voyage en Europe et un voyage hors d’Europe. Nous vous présentons les informations à connaître.

    Validité territoriale de l’assurance

    L’assurance auto responsabilité civile souscrite en France couvre tous les pays de l’Union européenne.

    Cette assurance couvre également les autres pays pour lesquels les bureaux nationaux de tous les pays de l’Union européenne se portent individuellement garants du règlement des sinistres survenus sur leur territoire.

    Pour connaître la liste des pays non membres de l’Union européenne qui sont couverts par votre assurance véhicule, vous devez demander à votre assureur de vous délivrer une carte internationale d’assurance automobile.

    Il y a sur ce document la liste des pays dans lesquels votre assurance auto vous couvre.

    Si le nom d’un pays est rayé dans cette liste, cela signifie que votre assurance que votre assurance ne fonctionne pas dans ce pays.

    Si vous souhaitez malgré tout vous rendre dans un pays où votre assurance ne fonctionne pas, vous devez souscrire localement une assurance spécifique.

    Risques couverts à l’étranger

    Les risques couverts à l’étranger dépendent des garanties que vous avez souscrites.

    Si votre véhicule est garanti uniquement pour la responsabilité civile, vous ne serez couvert que pour les dommages que votre véhicule peut causer aux tiers.

    Si vous avez souscrit des garanties supplémentaires (par exemple dans la formule “tous risques”), il est possible que leur application soit limitée en fonction du pays visité.

    Il faut donc vérifier auprès de votre assureur les garanties qui s’appliquent et celles qui sont limitées dans votre pays de destination.

    Vous devez particulièrement vérifier si, en cas de vol ou d’accident du véhicule, l’assurance prend en charge les frais suivants :

    • Frais de remorquage du véhicule

    • Frais de rapatriement des passagers, voire du véhicule

    • Frais d’hébergement pendant la durée des réparations

    • Paiement d’un chauffeur pour rapatrier le véhicule et ses occupants

    Documents permettant de prouver que le véhicule est assuré

    La situation varie suivant que le véhicule est immatriculé ou non.

    Les véhicules immatriculés et soumis à l’obligation d’assurance sont les suivants :

    • Voiture (voiture particulière, véhicule utilitaire, voiture sans-permis), tracteur et engin agricole

    • Camion

    • Engin à 2 ou 3 roues motorisé (moto, scooters) et quad, même non-homologué (mini-moto par exemple)

    • Remorque attelée ou non attelée

    Les véhicules non immatriculés mais soumis à l’obligation d’assurance sont les suivants :

    •  : draisienne, vélo à assistance électrique dont la puissance dépasse 250w ou dont la vitesse dépasse 25 km/h etc..

    •  EDPM  : trottinette électrique, monoroue, gyropode, hoverboard, etc…

    • Tondeuse auto-portée, munie d’un siège qui permet au conducteur de les manœuvrer

    Si vous circulez dans un pays membre de l’Union européenne avec un véhicule immatriculé, vous pouvez prouver présenter comme preuve le document que l’assureur vous a remis au moment de la souscription, ou la carte internationale d’assurance.

    Document d’assurance

    L’assureur a l’obligation de vous remettre au moment de la souscription un document qui contient les éléments essentiels du contrat suivants :

    • Nom et adresse de l’entreprise d’assurance

    • Nom, prénoms et adresse du souscripteur du contrat

    • Numéro de la police d’assurance

    • Date de délivrance du document

    • Date d’effectivité de la garantie

    • Numéro d’immatriculation du véhicule

    • Marque et le modèle du véhicule

    • Si la garantie du contrat s’applique à la fois à un véhicule à moteur et à ses remorques ou semi-remorques, mention du type des remorques ou semi-remorques qui peuvent être utilisées avec le véhicule

    • Si nécessaire, mention du fait que le véhicule est utilisé dans le cadre d’une activité de transport public particulier de personne à titre onéreux

    Carte internationale d’assurance

    La carte internationale d’assurance est le justificatif d’assurance adopté par les pays qui participent au système de la carte verte.

    Le système de la carte verte est un accord signé par plusieurs pays qui reconnaissent tous les justificatifs d’assurance automobile délivrés par l’un d’entre eux.

      Si vous circulez dans un pays membre de l’Union européenne avec un véhicule non immatriculé soumis à l’obligation d’assurance, vous pouvez présenter comme preuve l’attestation d’assurance ou la carte internationale d’assurance.

      Attestation d’assurance

      L’attestation d’assurance est un justificatif que l’assureur doit vous délivrer dans les 15 jours suivant la souscription ou le renouvellement du contrat, et qui mentionne les éléments suivants :

      • Nom et adresse de l’entreprise d’assurance

      • Nom, prénoms et adresse du souscripteur du contrat

      • Numéro de la police d’assurance

      • Période d’assurance correspondant à la prime ou portion de prime payée

      • Caractéristiques du véhicule, notamment son numéro de châssis ou de série

      À savoir

      si l’assureur ne peut pas vous délivrer l’attestation immédiatement lors de la souscription, il doit vous délivrer une attestation provisoire.

      Carte internationale d’assurance

      La carte internationale d’assurance est le justificatif d’assurance adopté par les pays qui participent au système de la carte verte.

      Le système de la carte verte est un accord signé par plusieurs pays qui reconnaissent les justificatifs d’assurance automobile délivrés par l’un d’entre eux.

        Documents à prévoir en cas d’accident

        En cas d’accident, vous devez produire un justificatif d’assurance.

        Pour faciliter la déclaration du sinistre, vous pouvez utiliser le constat européen d’accident, qui est valable dans les pays de l’Union européenne.

        Vous pouvez en obtenir un ou plusieurs exemplaires auprès de votre assureur avant le voyage.

        Attention

        Le e-constat , qui permet de remplir un constat sous forme numérique avec son smartphone, ne fonctionne pas en cas d’accident à l’étranger.

        Le constat à l’amiable doit être complété en cas d’accident de façon la plus complète.

        Chaque conducteur impliqué dans l’accident doit disposer d’un exemplaire rempli.

        Ce constat étant standardisé au niveau européen, il peut être facilement complété quelle que soit la langue dans laquelle il est écrit.

        À noter

        Vous pouvez remplir le constat avec les informations concernant l’assuré et la voiture, dès que l’assureur vous le remet, ou tout au moins avant votre voyage.

        Documents permettant de justifier que le véhicule est assuré

        La situation varie suivant que le pays de destination participe ou non au système de la carte verte ou carte internationale d’assurance automobile.

        Le système de la carte verte est un accord signé par plusieurs pays en matière d’assurance automobile, pour faciliter la circulation internationale.

        Vous pouvez présenter la carte internationale d’assurance automobile comme preuve d’assurance.

          Vous devez présenter un document qui prouve que vous avez souscrit une assurance qui vous permet de circuler dans le pays. Par exemple, un contrat d’assurance auto frontière ou un contrat d’assurance avec une compagnie locale.

            Documents à prévoir en cas d’accident

            En cas d’accident, vous devez produire un justificatif d’assurance.

            Pour faciliter la déclaration du sinistre, vous pouvez utiliser le constat européen d’accident, mais le document n’aura pas la même valeur qu’en France ou dans l’Union européenne, où il est reconnu par les compagnies d’assurance.

            Vous pouvez en obtenir un ou plusieurs exemplaires auprès de votre assureur avant le voyage.

            Attention

            Le e-constat , qui permet de remplir un constat sous forme numérique avec son smartphone, ne fonctionne pas en cas d’accident à l’étranger.

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