Logement et habitat : Demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

Vous envisagez de louer votre logement pour des séjours de courte durée ? Avant de vous lancer, certaines démarches administratives sont indispensables. Déclaration préalable, obtention d’un numéro d’enregistrement ou autorisation de changement d’usage : découvrez toutes les étapes pour être en conformité avec la réglementation en vigueur.

Publié le – Mis à jour le

Vous souhaitez proposer votre local d’habitation à la location de courte durée, pour une période inférieure à 120 jours par an ?

Une déclaration préalable auprès de la Mairie est indispensable en vue de l’attribution d’un numéro d’enregistrement.

Vous souhaitez transformer votre local d’habitation et pouvoir le proposer à la location de courte durée, pour une période supérieure à 120 jours par an ?

En plus de la déclaration préalable auprès de la Mairie, cette mise en location doit suivre une procédure règlementée dite de changement d’usage. Un nouveau règlement, applicable à compter du 1er janvier 2025, fixe les conditions d’autorisation de changement d’usage en meublés de tourisme. Désormais soumise à l’autorisation préalable de Monsieur le Maire, cette autorisation est le point de départ à la réalisation de votre projet.

Règlement relatif au changement d’usage des locaux d’habitation en meublés de tourisme, à la déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement

Constituent des locaux destinés à l’habitation toutes catégories de logements et leurs annexes, y compris les logements-foyers, logements de gardien, chambres de service, logements de fonction, logements inclus dans un bail commercial, locaux meublés donnés en location dans les conditions de l’article L. 632-1 ou dans le cadre d’un bail mobilité conclu dans les conditions prévues au titre Ier ter de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986.

Le présent règlement ne s’applique pas aux chambres d’hôtes et aux chambres chez l’habitant.

Sont considérés comme meublés de tourisme, les villas, appartements ou studios meublés, à l’usage exclusif du locataire, offert à la location à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile et qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée, à la semaine ou au mois.

Article 1er :

Conformément aux articles L. 631-7 et suivants du Code de la construction et de l’habitation, le changement d’usage des locaux destinés à l’habitation est soumis à autorisation préalable par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire de la commune d’Athis-Mons. Cette autorisation est délivrée par le Maire d’Athis-Mons selon les modalités définies par le présent règlement.

Article 2 :

Les autorisations de changement d’usage sont accordées en tenant compte des objectifs de maîtrise du développement des meublés de tourisme et de critères objectifs définis par le présent règlement.

Les autorisations sont accordées par la commune sous réserve du droit des tiers. En outre, les activités de meublés de tourisme ne doivent engendrer ni nuisance, ni danger pour le voisinage, ni conduire à aucun désordre pour le bâti.

Les règles s’appliquent de manière identique sur l’ensemble du territoire communal.

Article 3 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 4 :

L’autorisation de changement d’usage revêt un caractère temporaire. Elle est délivrée pour 3 ans, renouvelable 3 fois, soit 9 ans maximum.

Article 5 :

L’autorisation de changement d’usage est accordée à titre personnel et ne peut être cédée.

L’autorisation de changement d’usage pourra être délivrée pour 3 logements maximum appartenant au même propriétaire.

Article 6 :

Les autorisations ne sont pas subordonnées à une compensation.

Article 7 :

L’autorisation de changement d’usage concerne les locaux d’habitation constituant la résidence secondaire du demandeur, c’est-à-dire l’habitation occupée à titre occasionnel dont la location excède cent vingt jours par an à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Les résidences principales correspondant à l’habitation occupée de façon habituelle dont la location ne peut excéder cent vingt jours par an sont exonérées de l’obligation d’une autorisation de changement d’usage pour mettre à la location de courte durée à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile.

Article 8 :

Le dépassement de la durée maximale de cent vingt jours de location d’une résidence principale entraine l’application d’une amende d’un montant de 10 000 euros et de l’interdiction de publier une offre de location de ladite location jusqu’à la fin de l’année en cours.

Article 9 :

Le non-respect par une plateforme de location temporaire de l’obligation de limiter à 120 jours par an la location d’un meublé de tourisme déclaré comme la résidence principale du propriétaire entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 10 :

Sont exclus de cette procédure de changement d’usage :

  • Les logements faisant l’objet d’un conventionnement public (logement social)
  • Les logements de fonction
  • Les logements de gardien
  • Les logements-foyers

Article 11 :

La commune se réserve le droit, à des fins de contrôle, d’obtenir la transmission par les plateformes d’un état récapitulatif du nombre de nuitées de location pour chaque local d’habitation pendant l’année en cours et l’année précédente. Cet état précise le nom du loueur, si le local constitue sa résidence principale ou secondaire, l’adresse précise du local.

Article 12 :

Le défaut de transmission par une plateforme de location temporaire d’un état récapitulatif des données demandées entraine l’application d’une amende de 50 000 euros par annonce faisant l’objet du manquement.

Article 13 :

Le non-respect pour le loueur de la procédure de changement d’usage l’expose à l’application d’une amende d’un montant de 50 000 euros par local assortie, le cas échéant, de 1000 euros d’astreinte par jour et par m2 jusqu’à ce que le local soit rendu à son usage d’habitation (et retiré des plateformes de location temporaire).

Article 14 :

Conformément à l’article 324-1-1 II. du Code du tourisme, une procédure de déclaration préalable avec attribution d’un numéro d’enregistrement est mise en place par application de ce présent règlement sur l’ensemble du territoire d’Athis-Mons.

Article 15 :

Tout meublé de tourisme, qu’il constitue la résidence principale ou la résidence secondaire du locataire devra être déclaré et ce, dès la première nuitée de location.

Cette déclaration devra être faite par :

Article 16 :

Cette déclaration devra comporter :

  • Le Cerfa n°14004*04, en libre téléchargement sur internet (ou via la démarche en ligne guidée sur service-public.fr), à compléter et à signer,
  • Une pièce d’identité.

À réception et après traitement de cette déclaration, un numéro d’enregistrement sera transmis à des fins d’identifications.

Article 17 :

Ce numéro d’enregistrement devra obligatoirement être déclaré dans les annonces sur les plateformes de location temporaire.

Article 18 :

Le non-respect de la procédure de déclaration préalable avec attribution du numéro d’enregistrement expose le loueur à une amende d’un montant de 5000 euros.

Article 19 :

Le manquement à son obligation déclarative d’apposer le numéro d’enregistrement sur l’annonce de location temporaire expose le loueur à une amende d’un montant de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 20 :

La publication par une plateforme de location temporaire sans numéro d’enregistrement expose la plateforme à l’application d’une amende de 12 500 euros par meublé faisant l’objet du manquement.

Article 21 :

La taxe de séjour est applicable sur l’ensemble du territoire de la commune indépendamment des autres dispositifs juridiques cités dans ce règlement.

Article 22 :

La taxe de séjour incombe aux personnes non domiciliées dans la commune.

Article 23 :

Elle s’applique aux meublés de tourisme tous classement confondu.

Article 24 :

La taxe de séjour est calculée par personne et par nuit.

Article 25 :

Sont exemptes de la taxe de séjour :

  • Les personnes mineures
  • Les titulaires d’un contrat de travail saisonnier employés dans la commune
  • Les personnes bénéficiant d’un hébergement d’urgence ou d’un relogement temporaire

Article 26 :

Le montant de la taxe de séjour est fixé par délibération du Conseil municipal.

Article 30 :

Les propriétaires qui perçoivent les loyers sans intermédiaire versent la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune.

Les propriétaires qui usent d’un intermédiaire de paiement (service de réservation, de location ou de mise en relation en vue de location d’hébergement) ont la responsabilité de s’assurer que les gestionnaires de la plateforme assurent le versement deux fois par an de la taxe de séjour au comptable public assignataire de la commune, selon les modalités fixées par la délibération susvisée du Conseil Municipal.

Article 31 :

Ne pas reverser le montant de la taxe de séjour due entraîne l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

Article 32 :

Conformément à l’article L2333-34 III du CGCT, les propriétaires sont tenus de faire une déclaration à la commune quand ils reversent le produit de la taxe de séjour pour chaque hébergement loué sur la commune et pour chaque perception effectuée.

Cette déclaration doit comporter :

  • La date à laquelle débute le séjour
  • La date de la perception de la taxe
  • L’adresse de l’hébergement
  • Le nombre de personnes y ayant séjourné
  • Le nombre de nuitées constatées
  • Le prix de chaque nuitée réalisée lorsque le logement n’est pas classé
  • Le montant de la taxe perçue
  • Le numéro d’enregistrement de l’hébergement

Article 33 :

Le défaut de production dans les délais prévus de cette déclaration entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 12 000 euros sans être inférieure à 750 euros.

L’omission ou l’inexactitude constatées dans cette même déclaration entraine l’application d’une amende d’un montant de 150 euros par omission ou inexactitude sans être supérieure à 12 500 euros.

Article 33 :

Le propriétaire ou l’intermédiaire de paiement qui n’a pas perçu la taxe sur un loueur entraine l’application d’une amende pouvant aller jusqu’à 2500 euros sans être inférieure à 750 euros.

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  • Formulaire de demande de changement d’usage d’un local d’habitation à un usage locatif de courte durée

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INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES FOURNIES PAR SERVICE-PUBLIC.FR

Pour vous offrir une information complète et à jour sur vos démarches administratives, nous intégrons ci-dessous des contenus issus du site officiel Service-Public.fr. Ces informations, régulièrement mises à jour par l’administration centrale, viennent compléter celles spécifiques à la Mairie d’Athis-Mons, afin de répondre au mieux à vos besoins.

Remboursement des frais de transport domicile-travail (fonction publique)

En tant qu’agent public, vous bénéficiez d’une prise en charge partielle de vos frais de transport entre votre domicile et votre lieu de travail par votre administration employeur. Les conditions de prise en charge varient selon que vous utilisez les transports en commun, un service public de location de vélos ou un véhicule personnel. Nous vous détaillons ces conditions.

Rémunération dans la fonction publique

    Vous pouvez bénéficier de la prise en charge partielle du titre de transport en commun public que vous utilisez pour vous rendre de votre domicile à votre lieu de travail que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.

    Si vous n’avez pas de frais de transport pour vous rendre à votre travail, vous n’avez pas droit à cette prise en charge. C’est le cas dans les situations suivantes :

    • Vous bénéficiez d’une autre indemnisation ou d’un transport gratuit entre votre domicile et votre lieu travail

    • Vous êtes logé par votre administration employeur et vous n’avez pas de frais de transport pour vous rendre à votre travail

    • Vous disposez d’un véhicule de fonction

    Attention

    Certains agents peuvent être obligés de résider dans un périmètre géographique déterminé pour bénéficier de la prise en charge partielle de leur frais de transport domicile-travail. C’est par exemple le cas des enseignants chercheurs.

    Les titres de transport qui peuvent être partiellement pris en charge sont les suivants :

    • Abonnements multimodaux (c’est-à-dire qui permettent d’utiliser différents types de transports en commun : train, bus, etc.) à nombre de voyages illimité

    • Cartes et abonnements annuels, mensuels ou hebdomadaires ou à renouvellement tacite à nombre de voyages illimités ou limités délivrés par la  RATP , la  SNCF , les entreprises privées de transport adhérentes de l’organisation professionnelle des transports d’Île-de-France (Optile) ou toute autre entreprise de transport public de personnes

    • Abonnements à un service public de location de vélos

    Les titres de transport achetés à l’unité (par exemple, les tickets de bus achetés à l’unité) ne sont pas pris en charge.

    Attention

    La prise en charge d’un abonnement à un service de transport en commun et d’un abonnement à un service de location de vélos ne sont pas cumulables si les abonnements couvrent les mêmes trajets.

    Votre administration employeur prend en charge les 3/4 du tarif de votre abonnement.

    Toutefois, la participation de votre administration employeur ne peut pas dépasser 99,00 € par mois.

    La participation de votre administration employeur se fait sur la base du tarif le plus économique pratiqué par les transporteurs. Par exemple sur la 2e classe pour un abonnement SNCF.

    Pour les abonnements relevant de la compétence de l’autorité organisatrice des transports de la région Ile-de-France (Île-de-France Mobilités) , le montant de la participation est fixée sur la base du tarif annuel.

    La participation de votre administration employeur couvre le coût du ou des titres de transport vous permettant d’effectuer le trajet dans le temps le plus court entre votre résidence habituelle la plus proche de votre lieu de travail et votre lieu de travail.

    Si vous travaillez à temps partiel ou à temps incomplet ou non complet, vous bénéficiez de la même prise en charge qu’un agent à temps plein si votre durée de travail est égale ou supérieure au mi-temps.

    Si votre durée de travail est inférieure au mi-temps, votre prise en charge est réduite de moitié.

    Les remboursements partiels du prix de votre titre d’abonnement sont exonérés d’impôt sur le revenu.

    Ils ne sont donc pas inclus dans le montant du revenu net imposable figurant sur vos bulletins de paie et sur votre déclaration préremplie de revenus.

      Votre administration employeur prend en charge les 3/4 du tarif de votre abonnement.

      La participation de votre administration employeur se fait sur la base du tarif du navigo annuel (même si vous avez par exemple un abonnement mensuel).

      Toutefois, la participation de votre administration employeur ne peut pas dépasser 99,00 € par mois.

      La participation de votre administration employeur couvre le coût du ou des titres de transport vous permettant d’effectuer le trajet dans le temps le plus court entre votre résidence habituelle la plus proche de votre lieu de travail et votre lieu de travail.

      Si vous travaillez à temps partiel ou à temps incomplet ou non complet, vous bénéficiez de la même prise en charge qu’un agent à temps plein si votre durée de travail est égale ou supérieure au mi-temps.

      Si votre durée de travail est inférieure au mi-temps, votre prise en charge est réduite de moitié.

      Les remboursements partiels du prix de votre titre d’abonnement sont exonérés d’impôt sur le revenu.

      Ils ne sont donc pas inclus dans le montant du revenu net imposable figurant sur vos bulletins de paie et sur votre déclaration préremplie de revenus.

        Pour bénéficier de la prise en charge partielle du prix de vos titres d’abonnement, vous devez fournir à votre direction des ressources humaines votre ou vos justificatifs de transport.

        Vos titres de transport doivent être à votre nom.

        Le remboursement partiel du prix de votre titre de transport est mensuel.

        Le titre annuel de transport est remboursé tous les mois.

        Vous devez signaler tout changement dans votre situation individuelle qui modifie les conditions de la prise en charge (changement d’adresse, passage d’un abonnement de transport en commun à un abonnement vélo, etc.).

        Si vous devez souscrire des abonnements différents, vous bénéficiez de la prise en charge, par chacune de vos administrations employeurs, du ou des abonnements nécessaires aux déplacements entre votre domicile et votre lieu de travail.

        Si vous utilisez le même abonnement pour tous vos déplacements, vous bénéficiez d’une prise en charge de votre titre de transport, par chacune de vos administrations employeurs, en proportion du temps travaillé auprès de chacune d’elles.

          Si vous avez plusieurs lieux de travail (avec la même administration employeur) , vous bénéficiez de la prise en charge du ou des titres de transport vous permettant de vous déplacer entre votre domicile et vos différents lieux de travail.

            La prise en charge partielle de votre titre de transport n’est plus versée pendant les périodes suivantes :

            • Congés de maladie, de longue maladie, de grave maladie, congé de longue durée, congé pour invalidité temporaire imputable au service

            • Congés de maternité, d’adoption ou de paternité

            • Congé de présence parentale

            • Congé de formation professionnelle

            • Congé de formation syndicale

            • Congé de solidarité familiale

            • Congé bonifié

            • Congé annuel pris au titre du compte épargne-temps

            La prise en charge est maintenue jusqu’à la fin du mois au cours duquel débute le congé.

            Lorsque la reprise du service a lieu au cours d’un mois ultérieur, la prise en charge est effectuée pour ce mois entier.

            Ainsi, si votre absence débute au cours d’un mois et se termine le mois suivant, la prise en charge n’est pas interrompue.

            Elle est en revanche interrompue lorsque l’absence débute au cours d’un mois et se termine plus de 2 mois après.

            Exemple

            En cas d’absence du 4 juin au 18 août, vous ne bénéficiez pas de la prise en charge partielle de votre titre de transport au cours du mois de juillet.

          Quels sont les moyens de transport pris en charge ?

          Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire de vos frais de transport entre votre domicile et votre lieu de travail si vous effectuez ces trajets au moyen des véhicules suivants :

          • Vélo (électrique ou non)

          • Cyclomoteur ou motocyclette

          • Engin de déplacement personnel motorisé (trottinette, monoroue, gyropode, hoverboard, etc.)

          • Covoiturage (en tant que conducteur ou passager)

          • Service de mobilité partagée : service de location ou de mise à disposition en libre-service sur la voie publique de 2 ou 3 roues, de vélos ou d’engins de déplacement personnel (électriques ou non)

          • Service de mobilité partagée : service de mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules hybrides rechargeables ou électriques à faible émission au profit d’utilisateurs abonnés

          Ce remboursement forfaitaire est appelé  forfait mobilités durables .

          Qui peut bénéficier du forfait mobilités durables ?

          Vous pouvez bénéficier du forfait mobilités durables que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.

          Vous n’avez pas droit au forfait mobilités durables si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

          • Vous bénéficiez d’un logement de fonction sur votre lieu de travail

          • Vous bénéficiez d’un véhicule de fonction

          • Vous êtes transporté gratuitement par votre administration employeur

          • Vous êtes handicapé, résidez en Île de France et bénéficiez de l’allocation spéciale de dédommagement de vos frais de transport

          Quelles sont les conditions à remplir pour bénéficier du forfait mobilités durables ?

          Vous devez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables pendant au moins 30 jours par an.

          Ce nombre minimal de jours est réduit proportionnellement à votre temps de travail si vous travaillez à temps partiel ou à temps incomplet.

          Comment faire la demande de forfait mobilités durables ?

          Vous devez fournir à votre administration employeur une déclaration sur l’honneur au plus tard le 31 décembre de l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

          Dans cette déclaration, vous certifiez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables.

          Vous devez préciser également, dans cette déclaration, le nombre de jours de déplacements réalisés à l’aide de l’un de ces moyens de transport pendant l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

          L’utilisation du covoiturage ou d’un service de mobilité partagée est contrôlée par votre administration employeur qui vous demande tout justificatif utile.

          L’utilisation d’un vélo (électrique ou non) ou d’un engin de déplacement personnel (motorisé ou non) peut aussi être contrôlée par votre administration employeur.

          Si vous avez plusieurs administrations employeurs, vous devez déposer une déclaration auprès de chacune d’entre elles.

          Quel est le montant du forfait mobilité durables ?

          Le montant du forfait mobilités durables dépend du nombre de jours d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit :

          • 100 € pour une utilisation comprise entre 30 et 59 jours

          • 200 € pour une utilisation comprise entre 60 et 99 jours

          • 300 € pour une utilisation comprise d’au moins 100 jours

          Comment le forfait mobilités durables est-il versé ?

          Le forfait mobilités durables est versé l’année suivant celle du dépôt de la déclaration d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit.

          Si vous avez plusieurs administrations employeurs, chacune d’entre elles vous verse une part du forfait mobilités durables en fonction du nombre d’heures travaillées auprès de chacune d’elles.

          Le forfait mobilités durables est cumulable avec le remboursement partiel de votre titre de transport en commun ou de votre abonnement à un service public de location de vélos.

          Le forfait mobilités durables est exonéré d’impôt sur le revenu.

          Il n’est donc pas inclus dans le montant du revenu net imposable figurant sur vos bulletins de paie et sur votre déclaration préremplie de revenus.

            Quels sont les moyens de transport pris en charge ?

            Si une délibération le prévoit, vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire de vos frais de transport entre votre domicile et votre lieu de travail si vous effectuez ces trajets au moyen des véhicules suivants :

            • Vélo (électrique ou non)

            • Cyclomoteur ou motocyclette

            • Engin de déplacement personnel motorisé (trottinette, monoroue, gyropode, hoverboard, etc.)

            • Covoiturage (en tant que conducteur ou passager)

            • Service de mobilité partagée : service de location ou de mise à disposition en libre-service sur la voie publique de 2 ou 3 roues, de vélos ou d’engins de déplacement personnel (électriques ou non)

            • Service de mobilité partagée : service de mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules hybrides rechargeables ou électriques à faible émission au profit d’utilisateurs abonnés

            Ce remboursement forfaitaire est appelé 

            Qui peut bénéficier du forfait mobilités durables ?

            Vous pouvez bénéficier du forfait mobilités durables que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.

            Vous n’avez pas droit au forfait mobilités durables si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

            • Vous bénéficiez d’un logement de fonction sur votre lieu de travail

            • Vous bénéficiez d’un véhicule de fonction

            • Vous êtes transporté gratuitement par votre administration employeur

            Quelles sont les conditions à remplir pour bénéficier du forfait mobilités durables ?

            Vous devez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables pendant au moins 30 jours par an.

            Ce nombre minimal de jours est réduit proportionnellement à votre temps de travail si vous travaillez à temps partiel ou à temps non complet.

            Comment faire la demande de forfait mobilités durables ?

            Vous devez fournir à votre administration employeur une déclaration sur l’honneur au plus tard le 31 décembre de l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

            Dans cette déclaration, vous certifiez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables.

            Vous devez préciser également, dans cette déclaration, le nombre de jours de déplacements réalisés à l’aide de l’un de ces moyens de transport pendant l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

            L’utilisation du covoiturage ou d’un service de mobilité partagée est contrôlée par votre administration employeur qui vous demande tout justificatif utile.

            L’utilisation d’un vélo (électrique ou non) ou d’un engin de déplacement personnel (motorisé ou non) peut aussi être contrôlée par votre administration employeur.

            Si vous avez plusieurs administrations employeurs, vous devez déposer une déclaration auprès de chacune d’entre elles.

            Quel est le montant du forfait mobilité durables ?

            Le montant du forfait mobilités durables dépend du nombre de jours d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit :

            • 100 € pour une utilisation comprise entre 30 et 59 jours

            • 200 € pour une utilisation comprise entre 60 et 99 jours

            • 300 € pour une utilisation comprise d’au moins 100 jours

            Comment le forfait mobilités durables est-il versé ?

            Le forfait mobilités durables est versé l’année suivant celle du dépôt de la déclaration d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit.

            Si vous avez plusieurs administrations employeurs, chacune d’entre elles vous verse une part du forfait mobilités durables en fonction du nombre d’heures travaillées auprès de chacune d’elles.

            Le forfait mobilités durables est cumulable avec le remboursement partiel de votre titre de transport en commun ou de votre abonnement à un service public de location de vélos.

            Le forfait mobilités durables est exonéré d’impôt sur le revenu.

            Il n’est donc pas inclus dans le montant du revenu net imposable figurant sur vos bulletins de paie et sur votre déclaration préremplie de revenus.

              Quels sont les moyens de transport pris en charge ?

              Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire de vos frais de transport entre votre domicile et votre lieu de travail si vous effectuez ces trajets au moyen des véhicules suivants :

              • Vélo (électrique ou non)

              • Cyclomoteur ou motocyclette

              • Engin de déplacement personnel motorisé (trottinette, monoroue, gyropode, hoverboard, etc.)

              • Covoiturage (en tant que conducteur ou passager)

              • Service de mobilité partagée : service de location ou de mise à disposition en libre-service sur la voie publique de 2 ou 3 roues, de vélos ou d’engins de déplacement personnel (électriques ou non)

              • Service de mobilité partagée : service de mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules hybrides rechargeables ou électriques à faible émission au profit d’utilisateurs abonnés

              Ce remboursement forfaitaire est appelé  forfait mobilités durables .

              Qui peut bénéficier du forfait mobilités durables ?

              Vous pouvez bénéficier du forfait mobilités durables que vous soyez fonctionnaire ou contractuel.

              Vous n’avez pas droit au forfait mobilités durables si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

              • Vous bénéficiez d’un logement de fonction sur votre lieu de travail

              • Vous bénéficiez d’un véhicule de fonction

              • Vous bénéficiez d’un transport collectif gratuit entre votre domicile et votre lieu de travail

              • Vous êtes transporté gratuitement par votre établissement employeur

              Quelles sont les conditions à remplir pour bénéficier du forfait mobilités durables ?

              Vous devez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables pendant au moins 30 jours par an.

              Ce nombre minimal de jours est réduit proportionnellement à votre temps de travail si vous travaillez à temps partiel ou à temps non complet.

              Comment faire la demande de forfait mobilités durables ?

              Vous devez fournir à votre établissement employeur une déclaration sur l’honneur au plus tard le 31 décembre de l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

              Dans cette déclaration, vous certifiez utiliser l’un des moyens de transport ouvrant droit au forfait mobilités durables.

              Vous devez préciser également, dans cette déclaration, le nombre de jours de déplacements réalisés à l’aide de l’un de ces moyens de transport pendant l’année pour laquelle vous demandez le versement du forfait mobilités durables.

              L’utilisation du covoiturage ou d’un service de mobilité partagée est contrôlée par votre établissement employeur qui vous demande tout justificatif utile.

              L’utilisation d’un vélo (électrique ou non) ou d’un engin de déplacement personnel (motorisé ou non) peut aussi être contrôlée par votre établissement employeur.

              Si vous avez plusieurs établissements employeurs, vous devez déposer une déclaration auprès de chacun d’entre eux.

              Quel est le montant du forfait mobilité durables ?

              Le montant du forfait mobilités durables dépend du nombre de jours d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit :

              • 100 € pour une utilisation comprise entre 30 et 59 jours

              • 200 € pour une utilisation comprise entre 60 et 99 jours

              • 300 € pour une utilisation comprise d’au moins 100 jours

              Comment le forfait mobilités durables est-il versé ?

              Le forfait mobilités durables est versé l’année suivant celle du dépôt de la déclaration d’utilisation de l’un des moyens de transport y ouvrant droit.

              Si vous avez plusieurs établissements employeurs, chacun d’entre eux vous verse une part du forfait mobilités durables en fonction du nombre d’heures travaillées auprès de chacun d’eux.

              Le forfait mobilités durables est cumulable avec le remboursement partiel de votre titre de transport en commun ou de votre abonnement à un service public de location de vélos.

              Le forfait mobilités durables est exonéré d’impôt sur le revenu.

              Il n’est donc pas inclus dans le montant du revenu net imposable figurant sur vos bulletins de paie et sur votre déclaration préremplie de revenus.

                Vous pouvez bénéficier d’une prise en charge, en tout ou partie, de vos frais de carburant et des frais engagés pour l’alimentation d’un véhicule électrique, hybride rechargeable ou hydrogène si l’une des 2 conditions suivantes est remplie :

                • Votre résidence habituelle ou votre lieu de travail est situé hors de la région Ile de France ou dans une commune qui n’est pas desservie par un service public de transport collectif régulier

                • Ou l’utilisation de votre véhicule personnel est indispensable en raison de vos horaires de travail qui ne vous permettent pas d’utiliser les transports en commun

                Le montant, les conditions et les critères d’attribution de la prise en charge des frais concernés sont déterminés par votre administration employeur après consultation du comité social.

                Le montant de la prise en charge est exonéré d’impôt sur le revenu dans la limite de  500 € par an, dont  200 € au maximum pour les frais de carburant.

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