État civil : Changement de prénom(s)

Publié le – Mis à jour le

Le demandeur doit être présent lors du dépôt de la demande. Le mineur est obligatoirement présent et accompagné par le parent exerçant l’autorité parentale.

En principe, il n’est pas possible de changer les prénom(s) donnés lors de la naissance. Seul un motif légitime permet un tel changement.

Le demandeur peut effectuer sa demande de changement de prénom(s) auprès de sa mairie de naissance ou de sa mairie de domicile.

Seuls les originaux des documents demandés seront acceptés.

Demande acceptée ou demande refusée

  • La demande est acceptée : la décision est inscrite sur le registre de l’État-Civil. Une fois l’acte de naissance mis à jour, il est possible de modifier ses titres d’identité.
  • La demande est refusée : si l’officier d’État-Civil estime que la demande ne revêt pas un intérêt légitime, il saisit le Procureur de la République. Si le Procureur s’oppose au changement de prénom, vous pouvez saisir le Juge aux Affaires Familiales. 

Attention : une restriction existe lorsque la demande émane d’un ressortissant étranger qui possède exclusivement la nationalité d’une des états suivants : Autriche, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Allemagne et Turquie. 

S’adresser à

La vente à la sauvette d’animaux est-elle autorisée ?

Non. De manière générale, la vente à la sauvette, c’est-à-dire le fait d’exposer dans les lieux publics, des biens en vue de les vendre sans autorisation régulière, est interdite.

Il est interdit de vendre des produits, quels qu’ils soient, sans autorisation, sur le trottoir, les chaussées, les marchés, etc. Ainsi, la vente d’animaux à la sauvette (chiots, chatons, lapins, etc.) est interdite.

La vente à la sauvette peut être punie de 6 mois d’emprisonnement et de  3 750 € d’amende.

Toutefois, l’auteur de la vente à la sauvette peut échapper à ces poursuites s’il remplit les conditions suivantes :

  • Il est majeur non récidiviste

  • Et il paye une amende

Le montant de l’amende est de 300 € si elle est payée dans les 45 jours suivant la constatation de l’infraction ou la date d’envoi de l’avis d’infraction.

Ce montant est porté à  600 €  si l’amende n’est pas payée dans ce délai de 45 jours.

Ce montant est réduit à 250 €  si l’auteur de la vente à la sauvette paie directement l’amende à l’agent de police au moment de la constatation de l’infraction ou dans les 15 jours suivant la constatation de l’infraction ou la date d’envoi de l’avis d’infraction.

En outre, l’animal peut être confisqué et confié à une association de protection animale.

Animal de compagnie