État civil : Changement de prénom(s)

Publié le – Mis à jour le

Le demandeur doit être présent lors du dépôt de la demande. Le mineur est obligatoirement présent et accompagné par le parent exerçant l’autorité parentale.

En principe, il n’est pas possible de changer les prénom(s) donnés lors de la naissance. Seul un motif légitime permet un tel changement.

Le demandeur peut effectuer sa demande de changement de prénom(s) auprès de sa mairie de naissance ou de sa mairie de domicile.

Seuls les originaux des documents demandés seront acceptés.

Demande acceptée ou demande refusée

  • La demande est acceptée : la décision est inscrite sur le registre de l’État-Civil. Une fois l’acte de naissance mis à jour, il est possible de modifier ses titres d’identité.
  • La demande est refusée : si l’officier d’État-Civil estime que la demande ne revêt pas un intérêt légitime, il saisit le Procureur de la République. Si le Procureur s’oppose au changement de prénom, vous pouvez saisir le Juge aux Affaires Familiales. 

Attention : une restriction existe lorsque la demande émane d’un ressortissant étranger qui possède exclusivement la nationalité d’une des états suivants : Autriche, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Allemagne et Turquie. 

S’adresser à

Logement à louer décent

Le logement fourni à un locataire doit être décent. Un logement décent répond à 5 critères : surface et performance énergétique minimales, absence de risque pour la sécurité et la santé du locataire, absence d’animaux nuisibles et de parasites, mise à disposition de certains équipements. Mais la définition de ces critères varie selon que le logement est situé en métropole ou outre-mer. Nous vous expliquons.

Location immobilière : obligations du propriétaire (bailleur)

      Un logement proposé à la location doit avoir une surface minimum. La surface minimum diffère selon qu’il s’agit d’un logement en location ou en colocation.

      Un logement mis en location doit respecter une surface minimum. Il s’agit d’un des critères de décence du logement.

      Le logement doit comporter au moins 1 pièce principale ayant :

      • Soit une surface habitable d’au moins 9 m² et une hauteur sous plafond d’au moins 2,20 m

      • Soit un volume habitable d’au moins 20 m³.

      Attention

      Le règlement sanitaire départemental peut imposer des conditions plus restrictives.

        La règle varie selon qu’il y a un bail unique ou que chaque colocataire a signé un bail.

        Le logement doit respecter une surface minimum. Il s’agit d’un des critères de décence du logement.

        Le logement doit comporter au moins 1 pièce principale ayant :

        • Soit une surface habitable d’au moins 9 m² et une hauteur sous plafond d’au moins 2,20 m

        • Soit un volume habitable d’au moins 20 m³.

        Le règlement sanitaire départemental (RSD) peut imposer des conditions plus restrictives. Pour le consulter, vous pouvez contacter votre mairie.

        Attention

        Pour que les colocataires puissent avoir droit à l’aide personnelle au logement, le logement doit avoir une surface habitable au moins égale à 16 m² pour 2 colocataires. Pour chaque colocataire supplémentaire, il faut 9 m² supplémentaires, dans la limite de 78 m² pour 8 personnes et plus.

          Chaque colocataire doit avoir une chambre d’une surface au moins égale à 9 m2 et d’un volume au moins égal à 20 m3 (pièces communes non prises en compte).

          Le caractère décent du logement est évalué en prenant en compte tous les éléments, équipements et pièces du logement (et non de la seule chambre dont le locataire a l’usage privatif).

              Depuis 2023, seul un logement consommant moins de 450 kWh d’énergie finale, par m2 de surface habitable et par an, peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite). Cette consommation est estimée par le diagnostic de performance énergétique (DPE).

              À partir de 2025, seul un logement appartenant aux classes A à F du  DPE  peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite).

              À partir de 2028, seul un logement appartenant aux classes A à E du  DPE  peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite).

              À partir de 2034, seul un logement appartenant aux classes A à D du  DPE  peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite).

              Le logement doit être conforme aux conditions suivantes :

              • Le logement assure le clos et le couvert . Le gros œuvre du logement et de ses accès est en bon état d’entretien et de solidité et protège les locaux contre les eaux de ruissellement et les remontées d’eau. Les menuiseries extérieures et la couverture avec ses raccords et accessoires assurent la protection contre les infiltrations d’eau dans l’habitation.

              • Le logement est protégé contre les infiltrations d’air parasites. Les portes et fenêtres du logement présentent une étanchéité à l’air suffisante. Les murs et parois du logement donnant sur l’extérieur ou des locaux non chauffés présentent une étanchéité à l’air suffisante. Les ouvertures des pièces donnant sur des locaux annexes non chauffés sont munies de portes ou de fenêtres. Les cheminées sont munies de trappes.

              • Les dispositifs de retenue des personnes (garde-corps des fenêtres, escaliers, loggias et balcons) situés dans le logement et dans ses accès sont dans un état conforme à leur usage.

              • La nature, l’état de conservation et d’entretien des matériaux de construction, des canalisations et des revêtements du logement ne présentent pas de risques manifestes pour la santé et la sécurité physique des locataires (notamment amiante).

              • Les réseaux et branchements d’électricité et de gaz sont conformes aux normes de sécurité et sont en bon état d’usage et de fonctionnement.

              • Les équipements de chauffage et de production d’eau chaude sont conformes aux normes de sécurité et sont en bon état d’usage et de fonctionnement.

              • Le logement permet une aération suffisante. Les dispositifs d’ouverture et les éventuels dispositifs de ventilation des logements sont en bon état. De plus, ils permettent un renouvellement de l’air et une évacuation de l’humidité adaptés aux besoins d’une occupation normale du logement et au fonctionnement des équipements.

              • Les pièces principales (destinées au séjour ou au sommeil) ont un éclairement naturel suffisant et un ouvrant donnant à l’air libre, ou sur un volume vitré donnant à l’air libre.

              • Le logement assure le clos et le couvert . Le gros œuvre du logement et de ses accès est en bon état d’entretien et de solidité et protège les locaux contre les eaux de ruissellement et les remontées d’eau. Les menuiseries extérieures et la couverture avec ses raccords et accessoires assurent la protection contre les infiltrations d’eau dans l’habitation. Concernant les infiltrations d’eau, il peut être tenu compte des conditions climatiques spécifiques du département.

              À savoir

              Un local situé au sous-sol ne peut pas être proposé à la location.

              Le logement qui fait l’objet d’un arrêté de mise en sécurité ou de traitement de l’insalubrité ne peut pas être considéré comme un logement décent.

              Un logement décent est un logement qui n’est pas infesté par des animaux nuisibles (par exemple : rats) ou par des parasites (par exemple : puces de lit, cafards).

              Le logement doit comporter les éléments d’équipement et de confort suivants :

              • Une installation permettant un chauffage normal . Elle doit être munie des dispositifs d’alimentation en énergie et d’évacuation des produits de combustion. Elle doit être adaptée aux caractéristiques du logement.

              • Une installation d’alimentation en eau potable. Elle doit permettre, à l’intérieur du logement, la distribution avec une pression et un débit suffisants pour l’utilisation normale de ses locataires.

              • Des installations d’évacuation des eaux usées. Ces installations doivent empêcher le refoulement des odeurs et des effluents. Elles doivent être munies de siphon.

              • Une cuisine ou un coin cuisine permettant l’installation d’un appareil de cuisson et comprenant un évier raccordé à une installation d’alimentation en eau chaude et froide et à une installation d’évacuation des eaux usées.

              • Une installation sanitaire intérieure au logement. Elle doit comprendre un WC, séparé de la cuisine et de la pièce où sont pris les repas. Il doit y avoir un équipement pour la toilette corporelle, comportant une baignoire ou une douche, aménagé de manière à garantir l’intimité personnelle, alimenté en eau chaude et froide et muni d’une évacuation des eaux usées. Mais, dans le cas d’un logement d’une seule pièce, l’installation sanitaire peut être limitée à un WC extérieur au logement, à condition que ce WC soit situé dans le même bâtiment et facilement accessible.

              • Un réseau électrique. Il doit permettre l’éclairage suffisant de toutes les pièces et des accès. Il doit permettre le fonctionnement des appareils ménagers courants indispensables à la vie quotidienne.

              À noter

              Pour être considéré comme meublé, le logement doit contenir au minimum certains meubles.

              Le propriétaire (ou l’agence immobilière) doit fournir au locataire un logement décent.

              Attention

              Le locataire ne doit en aucun cas cesser de payer tout ou partie de son loyer sous prétexte que le propriétaire ne respecte pas ses obligations.

              Si le logement n’est pas décent, le locataire doit indiquer au propriétaire (ou à l’agence immobilière) les signes de non-conformité du logement aux critères de décence. Il est recommandé de le faire par écrit, et d’envoyer cette lettre par courrier recommandé avec avis de réception. Pour cela, il peut utiliser ce modèle de lettre :

            • Signaler au bailleur (propriétaire ou agence immobilière) la non décence du logement loué
            • Selon le département où se trouve le logement, le locataire peut signaler les signes de non-décence du logement sur Histologe , afin d’obtenir un accompagnement des services de l’État dans sa démarche auprès du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :

            • Histologe : pour signaler aux services de l’État les signes de non décence du logement loué
            • La suite dépend de la réponse du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :

              Le locataire doit faire préciser au propriétaire, par lettre recommandée avec accusé de réception, les informations suivantes :

              • Travaux de mise en conformité que le propriétaire s’engage à effectuer

              • Délais de réalisation de ces travaux.

                Le locataire doit mettre en demeure le propriétaire de réaliser les travaux de mise en conformité, par lettre recommandée avec accusé de réception.

                À savoir

                Lorsque l’organisme payeur de l’allocation logement due au locataire (ou un organisme mandaté pour constater la non-décence), informe le propriétaire de son obligation de mettre en conformité du logement, cela équivaut à une mise en demeure par le locataire.

                Après un délai de 2 mois, si la mise en demeure est restée sans réponse ou si le désaccord persiste, le locataire (ou le propriétaire) peut saisir le greffe du tribunal judiciaire dont dépend le logement.

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                À savoir

                Mais le locataire ou le propriétaire (ou l’agence immobilière/notaire) peut choisir d’engager préalablement une conciliation en contactant la commission départementale de conciliation.

                Si le juge constate que le logement ne satisfait pas aux normes de décence, il peut déterminer les travaux à réaliser et le délai pour les faire. Il peut réduire le montant du loyer ou suspendre, avec ou sans consignation, son paiement et la durée du bail jusqu’à la réalisation de ces travaux.

                Mais le juge ne peut pas ordonner de mesure visant à respecter un seuil maximal de consommation d’énergie finale lorsque les 2 conditions suivantes sont réunies :

                • Le logement fait partie d’un immeuble en copropriété

                • Le propriétaire démontre que, bien qu’ayant proposé en assemblée générale de la copropriété des travaux dans les parties communes ou sur les équipements communs, et qu’en dépit de la réalisation de travaux dans les parties privatives, il n’a pu parvenir à un niveau de consommation énergétique inférieur au seuil maximal.

                À noter

                L’outre-mer désigne ici la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, La Réunion, et Mayotte.

                  Un logement proposé à la location doit avoir une surface minimum. La surface minimum diffère selon qu’il s’agit d’un logement en location ou en colocation.

                  Un logement mis en location doit respecter une surface minimum. Il s’agit d’un des critères de décence du logement.

                  Le logement doit comporter au moins 1 pièce principale ayant :

                  • Soit une surface habitable d’au moins 9 m² et une hauteur sous plafond d’au moins 2,20 m

                  • Soit un volume habitable d’au moins 20 m³.

                  Attention

                  Le règlement sanitaire départemental peut imposer des conditions plus restrictives.

                    La règle varie selon qu’il y a un bail unique ou que chaque colocataire a signé un bail.

                    Le logement doit respecter une surface minimum. Il s’agit d’un des critères de décence du logement.

                    Le logement doit comporter au moins 1 pièce principale ayant :

                    • Soit une surface habitable d’au moins 9 m² et une hauteur sous plafond d’au moins 2,20 m

                    • Soit un volume habitable d’au moins 20 m³.

                    Le règlement sanitaire départemental (RSD) peut imposer des conditions plus restrictives. Pour le consulter, vous pouvez contacter votre mairie.

                    Attention

                    Pour que les colocataires puissent avoir droit à l’aide personnelle au logement, le logement doit avoir une surface habitable au moins égale à 16 m² pour 2 colocataires. Pour chaque colocataire supplémentaire, il faut 9 m² supplémentaires, dans la limite de 78 m² pour 8 personnes et plus.

                      Chaque colocataire doit avoir une chambre d’une surface au moins égale à 9 m2 et d’un volume au moins égal à 20 m3 (pièces communes non prises en compte).

                      Le caractère décent du logement est évalué en prenant en compte tous les éléments, équipements et pièces du logement (et non de la seule chambre dont le locataire a l’usage privatif).

                          À partir de 2028, seul un logement appartenant aux classes A à F du  DPE  peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite).

                          À partir de 2031, seul un logement appartenant aux classes A à E du  DPE  peut être mis en location avec un bail d’habitation (y compris pour le renouvellement du bail ou sa reconduction tacite).

                          Le logement doit être conforme aux conditions suivantes :

                          • Le logement assure le clos et le couvert . Le gros œuvre du logement et de ses accès est en bon état d’entretien et de solidité et protège les locaux contre les eaux de ruissellement et les remontées d’eau. Les menuiseries extérieures et la couverture avec ses raccords et accessoires assurent la protection contre les infiltrations d’eau dans l’habitation. Concernant les infiltrations d’eau, il peut être tenu compte des spécificités climatiques du département.

                          • Les dispositifs de retenue des personnes (garde-corps des fenêtres, escaliers, loggias et balcons) situés dans le logement et dans ses accès sont dans un état conforme à leur usage.

                          • La nature, l’état de conservation et d’entretien des matériaux de construction, des canalisations et des revêtements du logement ne présentent pas de risques manifestes pour la santé et la sécurité physique des locataires (notamment amiante).

                          • Les réseaux et branchements d’électricité et de gaz sont conformes aux normes de sécurité et sont en bon état d’usage et de fonctionnement.

                          • Les équipements de chauffage et de production d’eau chaude sont conformes aux normes de sécurité et sont en bon état d’usage et de fonctionnement.

                          • Le logement permet une aération suffisante. Les dispositifs d’ouverture et les éventuels dispositifs de ventilation des logements sont en bon état. De plus, ils permettent un renouvellement de l’air et une évacuation de l’humidité adaptés aux besoins d’une occupation normale du logement et au fonctionnement des équipements.

                          • Les pièces principales (destinées au séjour ou au sommeil) ont un éclairement naturel suffisant et un ouvrant donnant à l’air libre, ou sur un volume vitré donnant à l’air libre.

                          À savoir

                          Un local situé au sous-sol ne peut pas être proposé à la location.

                          Le logement qui fait l’objet d’un arrêté de mise en sécurité ou de traitement de l’insalubrité ne peut pas être considéré comme un logement décent.

                          Un logement décent est un logement qui n’est pas infesté par des animaux nuisibles (par exemple : rats) ou par des parasites (par exemple : puces de lit, cafards).

                          Le logement doit comporter les éléments d’équipement et de confort suivants :

                          • Une installation d’alimentation en eau potable. Elle doit permettre, à l’intérieur du logement, la distribution avec une pression et un débit suffisants pour l’utilisation normale de ses locataires.

                          • Des installations d’évacuation des eaux usées. Ces installations doivent empêcher le refoulement des odeurs et des effluents. Elles doivent être munies de siphon.

                          • Une cuisine ou un coin cuisine permettant l’installation d’un appareil de cuisson et comprenant un évier raccordé à une installation d’alimentation en eau froide et à une installation d’évacuation des eaux usées.

                          • Une installation sanitaire intérieure au logement. Elle doit comprendre un WC, séparé de la cuisine et de la pièce où sont pris les repas. Il doit y avoir un équipement pour la toilette corporelle, comportant une baignoire ou une douche, aménagé de manière à garantir l’intimité personnelle, alimenté en eau froide et muni d’une évacuation des eaux usées. Mais, dans le cas d’un logement d’une seule pièce, l’installation sanitaire peut être limitée à un WC extérieur au logement, à condition que ce WC soit situé dans le même bâtiment et facilement accessible.

                          • Un réseau électrique. Il doit permettre l’éclairage suffisant de toutes les pièces et des accès. Il doit permettre le fonctionnement des appareils ménagers courants indispensables à la vie quotidienne.

                          • Lorsque les conditions climatiques le justifient, une installation permettant un chauffage normal . Elle doit être munie des dispositifs d’alimentation en énergie et d’évacuation des produits de combustion. Elle doit être adaptée aux caractéristiques du logement. Mais ces dispositions ne s’appliquent que si les conditions climatiques les justifient.

                          À noter

                          Pour être considéré comme meublé, le logement doit contenir au minimum certains meubles.

                          Le propriétaire (ou l’agence immobilière) doit fournir au locataire un logement décent.

                          Attention

                          Le locataire ne doit en aucun cas cesser de payer tout ou partie de son loyer sous prétexte que le propriétaire ne respecte pas ses obligations.

                          Si le logement n’est pas décent, le locataire doit indiquer au propriétaire (ou à l’agence immobilière) les signes de non-conformité du logement aux critères de décence. Il est recommandé de le faire par écrit, et d’envoyer cette lettre par courrier recommandé avec avis de réception. Pour cela, il peut utiliser ce modèle de lettre :

                        • Signaler au bailleur (propriétaire ou agence immobilière) la non décence du logement loué
                        • Selon le département où se trouve le logement, le locataire peut signaler les signes de non-décence du logement sur Histologe , afin d’obtenir un accompagnement des services de l’État dans sa démarche auprès du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :

                        • Histologe : pour signaler aux services de l’État les signes de non décence du logement loué
                        • La suite dépend de la réponse du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :

                          Le locataire doit faire préciser au propriétaire, par lettre recommandée avec accusé de réception, les informations suivantes :

                          • Travaux de mise en conformité que le propriétaire s’engage à effectuer

                          • Délais de réalisation de ces travaux.

                            Le locataire doit mettre en demeure le propriétaire de réaliser les travaux de mise en conformité, par lettre recommandée avec accusé de réception.

                            À savoir

                            Lorsque l’organisme payeur de l’allocation logement due au locataire (ou un organisme mandaté pour constater la non-décence), informe le propriétaire de son obligation de mettre en conformité du logement, cela équivaut à une mise en demeure par le locataire.

                            Après un délai de 2 mois, si la mise en demeure est restée sans réponse ou si le désaccord persiste, le locataire (ou le propriétaire) peut saisir le greffe du tribunal judiciaire dont dépend le logement.

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            À savoir

                            Mais le locataire ou le propriétaire (ou l’agence immobilière/notaire) peut choisir d’engager préalablement une conciliation en contactant la commission départementale de conciliation.

                            Si le juge constate que le logement ne satisfait pas aux normes de décence, il peut déterminer les travaux à réaliser et le délai pour les faire. Il peut réduire le montant du loyer ou suspendre, avec ou sans consignation, son paiement et la durée du bail jusqu’à la réalisation de ces travaux.

                            Mais le juge ne peut pas ordonner de mesure visant à respecter un seuil maximal de consommation d’énergie finale lorsque les 2 conditions suivantes sont réunies :

                            • Le logement fait partie d’un immeuble en copropriété

                            • Le propriétaire démontre que, bien qu’ayant proposé en assemblée générale de la copropriété des travaux dans les parties communes ou sur les équipements communs, et qu’en dépit de la réalisation de travaux dans les parties privatives, il n’a pu parvenir à un niveau de consommation énergétique inférieur au seuil maximal.

                            • Info logement indigne (insalubre, péril…)

                              Un conseiller d’une agence départementale d’information sur logement (Adil) vous explique les démarches à effectuer si vous habitez un logement indigne (insalubre, en péril…) ou que vous avez connaissance d’une telle situation.

                              Par téléphone

                              0 806 706 806

                              Ouvert de 9h à 12h et de 14h à 17h

                              Coût d’un appel local