État civil : Changement de prénom(s)

Publié le – Mis à jour le

Le demandeur doit être présent lors du dépôt de la demande. Le mineur est obligatoirement présent et accompagné par le parent exerçant l’autorité parentale.

En principe, il n’est pas possible de changer les prénom(s) donnés lors de la naissance. Seul un motif légitime permet un tel changement.

Le demandeur peut effectuer sa demande de changement de prénom(s) auprès de sa mairie de naissance ou de sa mairie de domicile.

Seuls les originaux des documents demandés seront acceptés.

Demande acceptée ou demande refusée

  • La demande est acceptée : la décision est inscrite sur le registre de l’État-Civil. Une fois l’acte de naissance mis à jour, il est possible de modifier ses titres d’identité.
  • La demande est refusée : si l’officier d’État-Civil estime que la demande ne revêt pas un intérêt légitime, il saisit le Procureur de la République. Si le Procureur s’oppose au changement de prénom, vous pouvez saisir le Juge aux Affaires Familiales. 

Attention : une restriction existe lorsque la demande émane d’un ressortissant étranger qui possède exclusivement la nationalité d’une des états suivants : Autriche, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Allemagne et Turquie. 

S’adresser à

Enfant décédé à la naissance : peut-on percevoir des prestations familiales ?

La situation diffère selon que vous dépendez du régime général (Caf) ou du régime agricole (MSA).

Les parents peuvent percevoir la prime à la naissance dans l’une des situations suivantes :

  • L’accouchement (ou l’interruption de la grossesse) intervient à une date postérieure ou égale au 1er jour du mois civil suivant le 5e mois de grossesse (soit à compter du 6e mois de grossesse), que l’enfant soit né sans vie (mort-né) ou vivant et viable.

  • L’accouchement (ou l’interruption de la grossesse) intervient avant cette date pour un enfant né vivant et viable (ayant un acte de naissance et un acte de décès).

Selon le cas, il faut fournir à la caisse soit un acte de naissance, soit un justificatif de grossesse.

À savoir

La prime à la naissance est versée sous condition de ressources.

Les parents peuvent aussi percevoir l’allocation forfaitaire versée en cas de décès d’un enfant.

Elle est attribuée si le décès intervient à compter de la 20e semaine de grossesse.

L’allocation forfaitaire est de 2 262,47 € ou 1 131,26 € , selon les revenus des parents.

À noter

Si vous êtes en possession d’un acte de naissance sans vie, vous devez transmettre ce document à la caisse.

    Les parents peuvent percevoir la prime à la naissance dans l’une des situations suivantes :

    • L’accouchement (ou l’interruption de la grossesse) intervient à une date postérieure ou égale au 1er jour du mois civil suivant le 5e mois de grossesse (soit à compter du 6e mois de grossesse), que l’enfant soit né sans vie (mort-né) ou vivant et viable.

    • L’accouchement (ou l’interruption de la grossesse) intervient avant cette date pour un enfant né vivant et viable (ayant un acte de naissance et un acte de décès).

    Selon le cas, il faut fournir à la caisse soit un acte de naissance, soit un justificatif de grossesse.

    À savoir

    La prime à la naissance est versée sous condition de ressources.

    Les parents peuvent aussi percevoir l’allocation forfaitaire versée en cas de décès d’un enfant.

    Elle est attribuée si le décès intervient à compter de la 20e semaine de grossesse.

    L’allocation forfaitaire est de 2 262,47 € ou 1 131,26 € , selon les revenus des parents.

    À noter

    Si vous êtes en possession d’un acte de naissance sans vie, vous devez transmettre ce document à la caisse.

    Où s’adresser ?

     Mutualité sociale agricole (MSA)