État civil : Changement de prénom(s)

Publié le – Mis à jour le

Le demandeur doit être présent lors du dépôt de la demande. Le mineur est obligatoirement présent et accompagné par le parent exerçant l’autorité parentale.

En principe, il n’est pas possible de changer les prénom(s) donnés lors de la naissance. Seul un motif légitime permet un tel changement.

Le demandeur peut effectuer sa demande de changement de prénom(s) auprès de sa mairie de naissance ou de sa mairie de domicile.

Seuls les originaux des documents demandés seront acceptés.

Demande acceptée ou demande refusée

  • La demande est acceptée : la décision est inscrite sur le registre de l’État-Civil. Une fois l’acte de naissance mis à jour, il est possible de modifier ses titres d’identité.
  • La demande est refusée : si l’officier d’État-Civil estime que la demande ne revêt pas un intérêt légitime, il saisit le Procureur de la République. Si le Procureur s’oppose au changement de prénom, vous pouvez saisir le Juge aux Affaires Familiales. 

Attention : une restriction existe lorsque la demande émane d’un ressortissant étranger qui possède exclusivement la nationalité d’une des états suivants : Autriche, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Allemagne et Turquie. 

S’adresser à

Surface de plancher d’une construction : quelles sont les règles de calcul ?

La surface de plancher de la construction correspond à la somme des surfaces closes et couvertes, sous une hauteur de plafond supérieure à 1,80 m, calculée à partir du nu intérieur des façades du bâtiment. La surface de plancher se calcule différemment entre la maison et l’immeuble collectif dans les déductions à réaliser.

La surface de plancher permet de déterminer le type d’autorisation d’urbanisme exigé pour votre projet.

Au-delà d’une certaine surface de plancher, il est nécessaire de recourir à l’architecte.

L’emprise au sol est aussi prise en compte pour connaître le type de demande. En fonction de la destination des constructions (agricole, serres de production), l’emprise au sol est aussi déterminante pour le recours à l’architecte.

Attention

la surface de plancher ne doit pas être confondue avec la surface privative des appartements de la loi Carrez. Celle-ci définit la superficie de la partie privative du lot ou de la fraction de lot lors de la vente ou de l’achat de votre bien en copropriété.

La surface de plancher correspond à la somme des surfaces de tous les niveaux construits, clos et couvert, dont la hauteur sous plafond est supérieure à 1,80 m, calculé à partir du nu intérieur (mesuré à partir des plinthes).

La surface de plancher s’obtient après déduction des surfaces suivantes :

  • Surfaces correspondant à l’épaisseur des murs entourant les embrasures des portes et fenêtres donnant sur l’extérieur

  • Vides et trémies (espaces sous les escaliers et ascenseurs)

  • Surfaces de plancher d’une hauteur sous plafond inférieure ou égale à 1,80 m

  • Surfaces de plancher aménagées pour le stationnement des véhicules motorisés ou non (y compris les rampes d’accès et les aires de manœuvres)

  • Surfaces de plancher des combles non aménageables pour l’habitation ou pour des activités à caractère professionnel, artisanal, industriel ou commercial (par exemple, combles avec encombrement de la charpente important ou un plancher qui ne peut pas supporter des charges)

Vous devez déduire également l’épaisseur des matériaux isolants.

Surface de plancher et emprise au sol : quelles sont les différences ?

Vous avez un projet de construction ou de rénovation d’une maison ? La mesure de la surface de plancher et celle de l’emprise au sol sont nécessaires pour faire votre demande d’autorisation d’urbanisme à la mairie. Elles sont aussi déterminantes pour le recours à un architecte.

D’une part, la surface de plancher

La surface de plancher est la somme de toutes les surfaces closes et couvertes.

Elle n’inclut pas :

  • L’épaisseur des murs extérieurs

  • Les embrasures des portes et fenêtres extérieures (ouvertures faites dans le mur pour recevoir les portes et fenêtres)

  • Les hauteurs sous plafond et sous escalier, inférieures ou égales à 1m80

  • Les trémies d’escaliers (ouverture pour le passage de l’escalier entre 2 étages)

  • Les combles non aménageables (absence de dalle ou de plancher)

  • La surface du garage (pour les véhicules motorisés ou non)

  • La surface du bassin de la piscine s’il y en a une

D’autre part, l’emprise au sol

L’emprise au sol est la surface que le bâtiment occupe au sol, annexes comprises, s’il y a en a. Il peut s’agir de la surface du garage ou celle du bassin de la piscine.

Elle n’inclut pas :

  • Les terrasses de plain-pied

  • Les débords de toiture sans poteau de soutien

  • Les aires de stationnement non couvertes

  • Les éléments d’ornement de la façade (corniche, marquise…)

Pour vous aider à calculer la surface de plancher de votre construction, vous pouvez vous servir d’une méthode de calcul.

À savoir

Dans ce formulaire, il est fait référence à la surface taxable, c’est-à-dire la surface correspondant à la taxe d’aménagement.

La surface de plancher correspond à la somme des surfaces de tous les niveaux construits, clos et couvert, dont la hauteur sous plafond est supérieure à 1,80 m, calculé à partir du nu intérieur (mesuré à partir des plinthes).

La surface de plancher s’obtient après déduction des surfaces suivantes :

  • Surfaces correspondant à l’épaisseur des murs entourant les embrasures des portes et fenêtres donnant sur l’extérieur

  • Vides et trémies (espaces sous les escaliers et ascenseurs)

  • Surfaces de plancher d’une hauteur sous plafond inférieure ou égale à 1,80 m

  • Surfaces de plancher aménagées pour le stationnement des véhicules motorisés ou non (y compris les rampes d’accès et les aires de manœuvres)

  • Surfaces de plancher des combles non aménageables pour l’habitation ou pour des activités à caractère professionnel, artisanal, industriel ou commercial (par exemple, des combles avec un encombrement de la charpente important ou un plancher qui ne peut pas supporter des charges)

  • Surfaces de plancher des locaux techniques nécessaires au fonctionnement d’un groupe de bâtiments ou d’un immeuble autre qu’une maison individuelle (y compris les locaux de stockage des déchets)

  • Surfaces de plancher des caves ou des celliers, annexes à des logements, dès lors que ces locaux sont desservis uniquement par une partie commune

  • Surface égale à 10 % des surfaces de plancher destinée à l’habitation, après déductions des points précédents, dès lors que les logements sont desservis par des parties communes intérieures

Vous devez déduire également l’épaisseur des matériaux isolants.

Pour vous aider à calculer la surface de plancher de votre construction, vous pouvez vous servir d’une méthode de calcul.

À savoir

Dans ce formulaire, il est fait référence à la surface taxable, c’est-à-dire la surface correspondant à la taxe d’aménagement.

Autorisations d’urbanisme

    Comment faire si…