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En France, le déficit public dérape et atteint un niveau inédit. La croissance est atone et le projet de Loi de finances du gouvernement sollicite un effort considérable auprès des collectivités (pour notre seule ville d’Athis-Mons, 1,6 million d’euros au total sur quatre ans sont demandés à la commune pour combler les déficits de l’État).
Et une équation qui se répète d’année en année : des recettes qui augmentent moins vite que les dépenses (pas d’augmentation des taux d’impôts communaux – c’est un engagement de l’équipe municipale, baisse des Droits de Mutation à Titre Onéreux – DMTO – liée à la crise immobilière…) et des dépenses en hausse liées à l’inflation et au dégel du point d’indice notamment : « Tout cela s’impose bien sûr à notre ville mais les choix budgétaires que nous proposons restent ambitieux pour Athis-Mons », explique Patrice Sac, 1er adjoint au Maire en charge des Finances.
« Partout où cela est possible, et surtout quand cela ne remet pas en cause la qualité du service public, nous sommes allés chercher les économies réalisables dans le fonctionnement de nos services (+ d’1 million d’euros d’économies), indique Jean-Jacques Grousseau, Maire de la ville. Il n’y a pas eu de casse brutale comme nous pouvons le vivre au Département de l’Essonne ».
« Les orientations budgétaires de la Ville sont des choix politiques que nous assumons ; faire de la politique, c’est faire des choix. Et ces choix permettent de préserver des finances saines de la collectivité, ajoute Jean-Jacques Grousseau. Les enfants, les jeunes, les plus fragiles, restent au coeur de nos politiques publiques ».
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